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Air Canada vise un rendement annuel du capital investi de l’ordre de 13% à 16%

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Air Canada établit de nouvelles cibles pour la période 2018-2020 et fait une mise à jour concernant son programme de fidélisation

  • Marge BAIIALA annuelle de l’ordre de 17 % à 20 %
  • Rendement du capital investi annuel de l’ordre de 13 % à 16 %
  • Flux de trésorerie disponibles cumulatifs de l’ordre de 2,0 G$ à 3,0 G$
  • Ratio de levier financier de 1,2 d’ici la fin de 2020

Mise à jour concernant le programme de fidélisation

  • VAN du programme de fidélisation projetée de l’ordre de 2,0 G$ à 2,5 G$
  • Demande de propositions en vue de trouver un partenaire de carte de crédit en co-marquage dans le cadre du programme de fidélisation

MONTRÉAL, le 19 sept. 2017 /CNW Telbec/ – Air Canada fixera de nouvelles cibles financières lors de sa Journée des investisseurs de 2017 qui aura lieu aujourd’hui à Toronto de 8 h 30 à 11 h 30 HE.

De 2018 à 2020, Air Canada cible une marge BAIIALA1) (bénéfice avant intérêts, impôts, dotation aux amortissements et aux pertes de valeur et location d’avions, en pourcentage des produits d’exploitation) annuelle de l’ordre de 17 % à 20 %, ainsi qu’un rendement du capital investi1) annuel de l’ordre de 13 % à 16 %.  Durant la même période, Air Canada prévoit également des flux de trésorerie disponibles cumulatifs1) de l’ordre de 2,0 G$ à 3,0 G$ ainsi qu’un ratio de levier financier1) (ratio de la dette nette ajustée sur le BAIIALA) de 1,2 d’ici la fin de 2020.

« Nous avons accompli de remarquables progrès dans l’exécution de notre plan d’affaires au cours des dernières années, comme l’atteste l’appréciation de près de 3 000 % du cours de notre action depuis le début de 2009, a souligné M. Calin Rovinescu, président et chef de la direction d’Air Canada.

« Au fil de l’évolution de notre stratégie commerciale, nous avons élargi les marges, accru le bénéfice net ajusté et amélioré le rendement du capital investi, en plus de solidifier notre situation financière et de rehausser notre positionnement concurrentiel. Nous avons en outre sensiblement réduit le profil de risque de la Société en assurant une gestion dynamique de notre endettement et en renversant la vapeur en ce qui a trait à la capitalisation de nos régimes de retraite, puisque l’important déficit a cédé la place à un excédent notable. Par ailleurs, nous avons doté notre parc aérien d’une énorme souplesse, ce qui nous permet de réagir efficacement à l’évolution de la conjoncture économique et de saisir un plus grand nombre d’occasions.

« Forts de toutes ces réalisations, nous sommes maintenant prêts à passer à un niveau supérieur. Nous souhaitons en effet continuer sur notre lancée en nous fixant des objectifs toujours plus ambitieux, preuve de la confiance que nous avons en notre plan stratégique. Notre stratégie commerciale qui a si bien réussi s’articule sur quatre priorités fondamentales, qui demeurent toujours valides : tirer parti de notre réseau international, comprimer les coûts et stimuler le chiffre d’affaires, nouer un lien de confiance avec la clientèle et favoriser l’évolution positive de notre culture d’entreprise auprès de nos effectifs.

« L’avenir est synonyme de nombreuses possibilités, notamment l’intégration d’appareils monocouloirs plus efficaces au sein du parc aérien principal, les avantages supplémentaires découlant de notre contrat d’achat de capacité modifié et prolongé avec Jazz, outre le lancement prévu de notre propre programme de fidélisation en 2020. À cet égard, nous lançons aujourd’hui une demande de propositions exhaustive en vue de trouver un partenaire de carte de crédit en co-marquage, processus auquel nous convierons les principales institutions financières. Nous nous attendons à ce que la valeur actualisée nette (VAN) du programme de fidélisation soit de l’ordre de 2,0 G$ à 2,5 G$ sur 15 ans. Nous prévoyons également profiter des avantages tirés de nos investissements dans les nouvelles technologies, entre autres le nouveau système de services aux passagers dont le déploiement est prévu en 2019. Nous continuerons de plus d’investir dans divers outils et programmes de formation en vue de permettre au personnel de toujours mieux servir notre clientèle, de conclure M. Rovinescu. »

La VAN estimative du programme de fidélisation, de l’ordre de 2,0 G$ à 2,5 G$ sur 15 ans, est avant impôt. Elle se fonde sur l’hypothèse que le cadre réglementaire actuel demeure inchangé et elle est calculée au moyen d’un taux d’actualisation avoisinant le coût moyen pondéré du capital de 7,6 % d’Air Canada.

Les perspectives présentées dans le présent communiqué de presse constituent des énoncés prospectifs au sens où l’entendent les lois sur les valeurs mobilières applicables; elles partent de diverses hypothèses, notamment celles évoquées ci-après, et sont exposées à plusieurs risques et incertitudes. On se reportera à cet égard à la « Mise en garde concernant les énoncés prospectifs » qui suit.

La participation à la Journée des investisseurs d’Air Canada de 2017 est sur invitation seulement. Il sera possible d’accéder à la webémission audio en direct de l’événement, qui sera accompagnée d’un diaporama, à partir du lien fourni sur le site Web d’Air Canada au www.aircanada.com (section Relations avec les investisseurs).

Principales hypothèses

Dans la préparation et la communication d’énoncés prospectifs, Air Canada a formulé certaines hypothèses.

Dans le cadre de celles-ci, pour la période de 2018 à 2020, Air Canada part de l’hypothèse que la croissance du PIB du Canada sera modérée, que l’indice des prix à la consommation (IPC) du Canada s’accroîtra d’environ 2 % et que la hausse annuelle du salaire moyen sera de 2 %. Air Canada a également présumé que, durant cette période, le dollar canadien se négocierait en moyenne à 1,32 $ CA pour 1,00 $ US et que le cours du carburant aviation s’établirait en moyenne à 0,62 $ le litre pour 2018, à 0,65 $ le litre pour 2019 et à 0,67 $ le litre pour 2020.

Le tableau qui suit résume les principales hypothèses annuelles d’Air Canada :

Principales hypothèses annuelles

2018

2019

2020

PIB – Canada

Croissance modérée

IPC – Canada

Environ 2 %

Hausse annuelle du salaire moyen

2 %

Montant en $ CA pour 1,00 $ US

1,32

Carburant aviation – en $ CA le litre

0,62

0,65

0,67

1) Mesures hors PCGR

Sont décrites ci-après certaines mesures hors PCGR qu’utilise Air Canada pour fournir aux lecteurs des renseignements supplémentaires sur sa performance financière et opérationnelle. Comme ces mesures ne sont pas conformes aux PCGR pour la présentation d’états financiers et qu’elles n’ont pas de sens normalisé, elles ne sauraient être comparées à des mesures similaires présentées par d’autres entités et ne doivent pas être considérées comme pouvant se substituer à des résultats établis selon les PCGR ou comme ayant préséance sur ceux-ci. Les lecteurs sont invités à se reporter aux rapports de gestion d’Air Canada des périodes pertinentes pour obtenir le rapprochement des mesures hors PCGR avec les mesures comparables selon les PCGR du Canada.

  • Air Canada utilise le bénéfice net ajusté (perte nette ajustée) et le résultat ajusté par action – dilué afin de mesurer le rendement financier global de ses activités sans égard aux effets du change, du produit (coût) financier net du passif au titre des avantages du personnel, des ajustements à la valeur du marché à l’égard des dérivés et autres instruments financiers comptabilisés à la juste valeur, du profit à la cession-bail d’actifs, de la perte au règlement de dettes ainsi que des éléments particuliers, car ces éléments risquent de fausser l’analyse de certaines tendances commerciales et de rendre moins pertinente l’analyse comparative avec les résultats d’autres compagnies aériennes. Par ailleurs, Air Canada se sert du bénéfice net ajusté pour établir le rendement du capital investi.
  • Le BAIIALA est une mesure couramment employée dans le secteur du transport aérien et Air Canada s’en sert afin d’avoir un aperçu des résultats d’exploitation avant intérêts, impôts, dotation aux amortissements et aux pertes de valeur et location d’avions, étant donné que ces coûts peuvent varier sensiblement d’une compagnie aérienne à l’autre en raison de la façon dont chacune finance son matériel volant et ses autres actifs. Air Canada retranche les éléments particuliers du BAIIALA, car ces éléments fausseraient l’analyse de certaines tendances commerciales et rendraient toute analyse comparative en regard d’autres compagnies aériennes moins pertinente.
  • Le « ratio de levier financier » dans le présent communiqué de presse renvoie au ratio de la dette nette ajustée-BAIIALA des 12 derniers mois. Ce ratio est couramment utilisé dans l’industrie du transport aérien et Air Canada s’en sert afin d’évaluer le levier financier. Le ratio de levier financier correspond à la dette nette ajustée divisée par le BAIIALA (compte non tenu des éléments particuliers) des 12 derniers mois. Comme il est mentionné plus haut, Air Canada retranche les éléments particuliers des résultats relatifs au BAIIALA (qui sont utilisés pour déterminer le ratio de levier financier), car ces éléments fausseraient l’analyse de certaines tendances commerciales et rendraient toute analyse comparative en regard d’autres compagnies aériennes moins pertinente.
  • Les flux de trésorerie disponibles sont couramment utilisés dans le secteur du transport aérien et Air Canada s’en sert comme indicateur de la vigueur financière et du rendement de ses activités dans la mesure où ils indiquent le montant de trésorerie que la compagnie aérienne est en mesure de dégager de ses activités, compte tenu des dépenses d’investissement. Les flux de trésorerie disponibles correspondent aux flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation, moins les achats d’immobilisations corporelles et incorporelles et déduction faite du produit tiré d’opérations de cession-bail.
  • Air Canada se sert du rendement du capital investi afin d’évaluer la rentabilité du capital qu’elle utilise. Le rendement se fonde sur le bénéfice ajusté (perte ajustée) avant impôt, compte non tenu des charges d’intérêts et des intérêts implicites aux termes des contrats de location simple. Le capital investi comprend la moyenne de la dette à long terme en glissement annuel, la moyenne des obligations découlant des contrats de location-financement en glissement annuel, la moyenne des capitaux propres en glissement annuel et la valeur des contrats de location simple immobilisés (calculée en multipliant par 7 les coûts de location d’avions annualisés). Air Canada calculait auparavant le capital investi en fonction de l’actif diminué des passifs d’exploitation. À la suite de l’accroissement important de son capital investi et de la valeur comptable de ses capitaux propres, Air Canada a décidé d’adopter plutôt une méthode de calcul du rendement du capital investi basée sur la valeur comptable, comme il est décrit ci-dessus.

MISE EN GARDE CONCERNANT LES ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs au sens de la législation en valeurs mobilières applicable. Ces énoncés découlent d’analyses et d’autres renseignements fondés sur la prévision de résultats à venir et l’estimation de montants qu’il est actuellement impossible de déterminer. Ils peuvent porter sur des observations concernant, entre autres, des résultats préliminaires, des prévisions, des stratégies, des attentes, des opérations projetées ou des actions futures. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l’emploi de termes tels que « préliminaires », « prévoir », « croire », « pouvoir », « estimer », « projeter » et « planifier », employés au futur et au conditionnel, et d’autres termes semblables, ainsi qu’à l’évocation de certaines hypothèses.

Comme, de par leur nature, les énoncés prospectifs partent d’hypothèses, dont celles décrites dans le présent communiqué, ils sont soumis à de grands risques et incertitudes. Les énoncés prospectifs ne sont donc pas entièrement assurés en raison, notamment, de la survenance possible d’événements externes ou de l’incertitude qui caractérise le secteur. Les résultats réels peuvent donc différer sensiblement des résultats évoqués par ces énoncés prospectifs du fait de divers facteurs, notamment la capacité d’Air Canada de dégager ou de maintenir une rentabilité nette ou de réaliser ses initiatives et ses objectifs, les taux de change, l’état du secteur, du marché, du crédit, de la conjoncture économique et du contexte géopolitique, les cours de l’énergie, la concurrence, la capacité d’Air Canada de mettre en œuvre efficacement des initiatives stratégiques opportunes ou de réduire les charges d’exploitation, sa dépendance à l’égard des technologies, les risques liés à la cybersécurité, sa capacité de rembourser ses dettes et d’obtenir du financement, les conflits armés, les attentats terroristes, les épidémies, la dépendance envers les fournisseurs clés, notamment les transporteurs régionaux et Aimia Inc., la réussite de notre transition du programme Aéroplan et du lancement de notre propre programme de fidélisation, les pertes par sinistres, les relations de travail et les coûts connexes, sa capacité de préserver et de faire croître sa marque, les questions de retraite, les facteurs liés à l’environnement (dont les systèmes météorologiques et autres phénomènes naturels, et des facteurs d’origine humaine), les limites imposées aux termes de clauses restrictives, les questions d’assurance et les coûts qui y sont associés, la dépendance envers les partenaires Star Alliance, les interruptions de services, l’évolution de la législation, de la réglementation ou de procédures judiciaires, les litiges actuels et éventuels avec des tiers, outre sa capacité de recruter et de conserver du personnel qualifié, ainsi que les facteurs dont il est fait mention dans le présent communiqué de presse et à la rubrique 17, « Facteurs de risque » du rapport de gestion de 2016 d’Air Canada daté du 17 février 2017 et à la rubrique 12 du rapport de gestion du deuxième trimestre de 2017 d’Air Canada daté du 1er août 2017. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué représentent les attentes d’Air Canada en date du présent communiqué de presse (ou à la date à laquelle ils sont censés avoir été formulés) et ils peuvent changer par la suite. Toutefois, Air Canada n’a ni l’intention ni l’obligation d’actualiser ou de réviser ces énoncés à la lumière de nouveaux éléments d’information ou d’événements futurs ou pour quelque autre motif, sauf si elle y est tenue par la réglementation en valeurs mobilières applicable.

SOURCE Air Canada

 

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