Bombardier

COMAC pourrait prendre une participation dans le C Series

Pour partager cette publication :

Selon ce que rapporte le Financial Times, Bombardier serait actuellement en discussion avec COMAC dans le but de lui vendre une participation dans le C Series. L’article ne précise toutefois pas quelle forme prendrait la participation de COMAC ni le montant de celle-ci.

 

Ce n’est pas la première fois que Bombardier et COMAC ont des discussions puisqu’en 2012 les deux entreprises avaient signé une entente dans le but d’harmoniser le plus possible les postes de pilotage du C Series et du C919.

 

Pour COMAC, une participation dans le C Series lui donnerait accès aux ressources et à la compétence de Bombardier en matière de certification FAA et EASA dont le constructeur a tant besoin pour le C919. De plus il pourrait y avoir des transferts technologiques du C Series au C919 afin de le rendre beaucoup plus compétitif face à l’A320NEO et au B737MAX.

 

Pour Bombardier il y a l’ajout de nouveaux capitaux que l’entente apporterait, mais c’est surtout que cela lui donnerait une certaine exclusivité des commandes chinoises dans la catégorie des avions de 100 à 150 passagers.

 

Pour lire l’article du Financial Times, cliquez ici, ainsi que dans le Financial Post cliquez ici

>>> Suivez-nous sur Facebook et Twitter

51 avis sur “COMAC pourrait prendre une participation dans le C Series

    • André Allard

      Je vais partager ce lien aussi, merci Nicholas

      Répondre
  • Avec le gouvernement qui détient 49,5% du Cseries, je ne vois pas comment Bombardier pourrait vendre une autre partie sans devenir minoritaire, ce qui m’étonnerait beaucoup. Selon moi, ce serait plus une participation mineure (entre 10 et 25%) dans Bombardier Aéronautique, comme l’a fait la CDPQ avec la division Transport.

    Répondre
    • Si la rumeur se concrétise car j’ai quelques doutes sur les chances qu’une entente survienne.

      Répondre
      • André Allard

        Comme je le mentionne dans mon texte, COMAC a besoin de Bombardier si elle veut certifier le C919 FAA et EASA. Le texte original dans le Financial Times est très floue quand à a nature exacte des négus entre BBD et COMAC. Ce qui est certain c’est que BBD a une équipe de certification capable d’accélérer grandement celle du C919 qui pourrait facilement faire économiser une année ou deux d’essai au C919. Monétiser cette expertise serait une très bonne source de revenue pour BBD

        Répondre
        • Ronald Houde

          Une bonne partie de l’équipe de Bombardier est maintenant rendue chez Mitsubishi pour la certification du MRJ. Donc, pas besoin d’un partenariat pour avoir accès à l’expertise.

          Répondre
          • N’importe quoi, personne de Bombardier n’est chez Mitsubishi, la certification du MRJ est effectué par AeroTEC et Mitsubishi à Moses Lake dans l’état de Washington.

    • André Allard

      Avec une nouvelle de cette empleur, BBD va devoir émettre un communiqué car cela pourrait entrainer de la spéculation sur le titre.

      Répondre
    • CORRECTION : un coup sur la page de La Presse cliqué sur économie, vous allez avoir accès a l’article sur les chinois.

      Répondre
  • François Bouchard

    Pour les partisans du CS500 et +, je pense que votre chien est mort! La suite serait dans les C919. Plus ça va, plus on comprend.

    Répondre
  • Eric Tremblay

    Les tactiques merdiques visant à écraser BBD/le CSeries semble se retourner contre Boeing big time!

    Si la transaction se confirme, COMAC sera mieux outillé grace aux transferts technologiques, et pourrait certifier le C919 plus rapidement.

    La Chine gagnerait plusieurs années dans sa course à devenir un grand constructeur d’avions commerciaux (Ils dépensent des milliards en ce moment, sans grand succès).

    Le programme CS100/300 serait financièrement solidifié. Pas sûr que COMAC verrait d’un bon œil un CS500/700 cependant… (Et concurrencer le C919)

    Répondre
    • Il n’y aura pas de transferts technologique sur le C919, la conception est terminée et il vient de voler. Vrai toutefois que Bombardier peut donner un coup de main pour la certification mais personne ne s’attend à beaucoup de ventes en dehors de la sphère d’influence de la Chine car le C919 n’a rien de révolutionnaire donc ce n’est même pas sur qu’il sera certifié EASA ou FAA. Il devrait même être quelques points derrière l’a320neo en terme de performances. Je n’ai aucune inquiétude à propos du CS500 qui a (de loin) un bien meilleur potentiel que le C919.

      Répondre
      • André Allard

        Soyons claire, COMAC ne s’attend pas vraiment de vendre son fer à repasser volant en dehors de la Chine, mais l’obtention de la certification FAA EASA revet un caractère symbolique important et encore plus un caractère pédagogique qui indiquerait que le prochain avion lui pourrait se vendre en dehors de la Chine. Bref les chinois se demande: « On es-tu capable » et ils doivent répondre à cette question.

        Répondre
        • Gros Minet

          Le fer à repasser vendu $20-25 millions va se vendre par millier s’il est certifié FAA-EASA.

          Répondre
          • André Allard

            Je parierais un deux que c’est probablement entre 15-20MS, les salaires en Chine c’est pas grand chose. Pis les règle de comptabilité plus permissive de sorte qu’il serait bien difficile de savoir quel est le coût de développement.

          • Gros Minet

            Et à ce prix, le dumping est très peu probable.

  • François Bouchard

    J’ajouterais que la participation que prendrait COMAC serait sans doute prise à même celle du gouvernement du Québec. Celui-ci cèderait sa place et ferait taire du coup les Boeing de ce monde qui pleurent que les deniers publiques servent l’intérêt des entreprises privées. Ce serait un scénario plein de bon sens. le gouvernement sortirait de là la tête haute en disant qu’il a joué son rôle en mettant un sparadrap sur la plaie le temps qu’elle guérisse. Maintenant que le patient est sauvé, qu’il courre librement.

    Répondre
    • Gros Minet

      Farpaitement ! Mais ce que le gouv à fait est totalement légal.

      Répondre
  • Je pencherait plutôt vers la mise en place financière vers un spinoff de la division aviation. Ce qui permettrait une fusion avec siemens pour le transport

    Répondre
  • Gros Minet

    C919 a certifé et ARJ21 a refaire. Un new CRJ en vu + $1-2 milliards dans les caisses ???

    Répondre
    • André Allard

      Une fuite de cette ampleur le jour où Bombardier comparait pour la plainte de Boeing, quel étrange coïncidence n’est-ce pas. Je suis curieux de savoir comment les dirigeants de Boeing ont réagi à celle là.

      Répondre
      • Selon moi aucune, ni le Cseries ni le C919 ne sont une grande menace pour eux.

        Répondre
        • André Allard

          Il ne s’agit pas des ventes de COMAC aux USA mais plutôt des ventes de Boeing en Chine, elle est là la menace dans se deal car si le C919 arrive rapidement sur le marché chinois, son faible prix compensera largement pour sa consommation. EN plus comment voudrais tu que Boeing accuse COMAC de faire du dumping en Chines? Le Dumping implique obligatoirement que les ventes se fassent à l’extérieures du pays de fabrication.

          Répondre
  • C’est une des raisons pour laquelle Boeing construit un centre de finition intérieur et de peinture en Chine pour les 737 vendu en Chine.

    Ce que je veux dire c’est que la plainte contre Bombardier c’est seulement un test pour voir s’il pourrait faire la même chose contre Airbus. On l’a vu avec Trump (ALENA, bois d’oeuvre, le lait) c’est beaucoup plus facile de taper sur les gentils et dociles canadiens que sur d’autres nations plus puissante.

    Répondre
    • André Allard

      Là je suis d’accord avec toi, mon texte à ce sujet est déjà écrit mais l’actualité d’aujourd’hui en retarde la diffusion à samedi probablement. Mais si Boeing gagne contre BBB, il faudrait être bien naïf pour croire que cela s’arrêterait là, Airbus est le suivant.

      Répondre
  • À l’audience ce (18) mai 2017 devant l’International Trade Commission (ITC) …… »Les dirigeants de Boeing ont reconnu spécifiquement et publiquement que l’entreprise ne fabrique pas d’avions de la taille que voulait Delta ». ( voir le communiqué de bombardier sur son site) La stratégie vicieuse de Boeing semble commencer à pointe dès la première audience. Boeing savait-il au moment de sa plainte à l’encontre de bombardier, que les Chinois avait dans leur rétroviseur une alliance possible avec la Cserie ??????

    Répondre
  • Andre clément

    Pourquoi parler d’une aliance. … et non d’un rachat de la division avion régionaux de Bombardier par les chinois à un prix qui permettrait de rembourser les avances du gouvernement. … renflouer les caisses de Bombardier. … avec un petit bénéfice pour les actionnaires. … Bombardier se séparant d’un programme qui se présente comme un échec. ….et se recentre sur les avions d’affaires. ?
    Laissant boeing et Airbus continuer à S3 partager le marcher comme ils l’ont toujours fait. …

    Répondre
    • Parce que Bombardier a tout misé (ou presque) sur le Cseries, ce sera LA grosse source des prochaines années. Et le Cseries n’est pas un avion régional.

      Répondre
        • Andre clément

          Ne jouez pas sur les mots . Le Cserie nest que le remplacement du programme CRJ …
          c’est justement parce que bombardier à tout misé qu’il est de son intérêt de se dégager au plus vite..
          Juste une question….. combien de temps au rythme de livraison actuel Bombardier va – – il mettre pour rembourser les avances et amortir les 4.5 milliards investis depuis le début? ????
          Le moyen de le faire est de vendre
          .

          Répondre
          • non le Cseries ne remplace pas le CRJ, ce n’est pas du tout le même marché et les même client.

      • Gros Minet

        La division aviation est plus prometteuse que la division transport. Depuis la fusion des deux gros chinois, l’avenir est dans la vente de cette division. Dans l’aviation, les chinois ont encore des croutes à manger.

        Répondre
    • André Allard

      Bien que le C Series connaisse des difficultés, parler d’un échec me semble prématuré. Si Bombardier a offert 49% des parts dans le C Series pour 1G$ c’était surtout dans le but d’obtenir le support très visible du gouvernement. Mais pour une entreprise chinoise, le prix serait beaucoup plus élevé. De plus COMAC a déboursé une fortune déjà dans le but de produire l’ARJ21 qui est sa version du DC-9. SI COMAC n’est pas encore un constructeur d’avion digne de ce nom, elle n’en est plus à acheter les licences de fabrication occidentales, le rachat pure et simple des avions commerciaux de Bombardier représenterait un recul. Ce dont COMAC a besoin c’est d’un partenariat afin de l’aider à passer à une étape supérieure.

      Répondre
      • Je suis aussi d’accord sur ce point. Intéressant!

        Répondre
  • Capitaine Scarlet

    Il y a déjà un temps que je signale une telle consolidation. C’était prévisible. Comac a besoin de crédibilité à travers le monde pour rendre une image de fiabilité aux marchés toujours frileux envers de la pacotille chinoise. Bombardier offre un réseau d’entretien et de maintenance mondial, réseau absolument nécessaire à Comac (il a fallu plus de 10 ans à Bombardier pour développer le sien, ce qui fera gagner temps et argent à Comac). De fait, personne à l’international ne voudra du 919 actuel: c’est un 737NG, tout au plus. Le coup de poker magistral de Bombardier serait: 1) la revente du prêt-relais-participation du gouvernement; 2) Bombardier demeure aux commandes pour un temps avec 50.5% avant un vrai partenariat à 50-50, ce que voudront les Chinois; 3) l’oubli du 919 à l’international au profit d’une montée en puissance de la CSeries avec des modèles plus gros qui seraient, on peut le penser, fabriqués exclusivement en Chine à un prix de revient défiant toute compétition; 4) des CS500, CS700, CS900 et pourquoi pas, CS75 et CS1000 se vendraient plus facilement que des 929, 939, etc.; 5) stratégiquement parlant, mieux vaut Bombardier qu’Embraer pour gagner des marchés et de la légitimité plus rapidement; 6) Comac amènerait toutes les sociétés de locations chinoises aux poches pleines; 7) À et B vont voir leur pire cauchemar se réaliser: une fusion Bombardier-Comac; 8) la famille Bombardier cherchera à faire croître ce volet de leur activité en acceptant une fabrication en Chine des plus gros modèles tout en ayant enlevé cette épine du pied de la contribution des contribuables…

    Répondre
    • Calmez-vous, Comac est une société d’état, il n’y aura pas de fusion. Et Bombardier a signé une exclusivité de 20 ans avec le gouvernement du Québec et également avec le syndicat des machinistes pour l’assemblage à Mirabel. Airbus assemble déjà des A320 en Chine et ils n’ont pas l’exclusivité pour autant, il y a beaucoup de politique dans l’achat d’avions, Bombardier (et le Canada) a très peu d’influence de ce côté.

      Répondre
      • Nicholas…..je pense que tu a raison. IL n’aura pas de fusion, c’est plutôt une collaboration très étroite au niveau de l’ingénierie et l’ouverture du marché Chinois pour les avions de Bombardier qui semble se dessiner. Je crois que sa serait la meilleure chose qui pourrait arriver à bombardier pour faire face à boeing/airbus. En contre parti bien des milliards d’investissements de la part des Chinois dans Bombardier. Faut pas oublier que le président actuel de bombardier avait fait une certaine démarche en 2015 auprès d’Airbus. Quand sa sortie publiquement le PDG d’Airbus F. Brégier à envoyer paître Bombardier. Lire l’article du (06) octobre 2015……httt://www.ici.radio-canada.ca/nouvelle/742837/bombardier-airbus-cseries-part-majoritaire.

        Répondre
        • Moi je n’y crois pas à ces rumeurs parce que le cseries ne vaut pas « des milliards » actuellement. Et Bombardier à beaucoup plus perdre qu’à gagner. Bombardier et Comac ont tenté à plusieurs reprirent de s’entraider sans aucun résultats, je ne vois pas pourquoi ça fonctionnerait maintenant.

          Répondre
          • André Allard

            Il ne s’agit pas de croire ou pas, si la rumeur était totalement fausse Bombardier l’aurait déjà nié et de plus le PM du Québec a déclaré qu’il n’était pas contre la venue d’un nouveau partenaire et a rappelé qu’il avait son mot à dire sur les négociations afin de s’assurer que le C Series demeure au QC. Oublie pas qu »il y a des élections qui s’en viennent.

    • Gros Minet

      Je ne crois pas à la fusion. Les chinois ne veulent que l’expertise en certification. Peut-être une entrée au capital du Cseries à hauteur de 10-20% + du cash pour l’expertise et le transfert de compétence pas plus. Le CS500 existera. Le C919 est un avion occidental avec un chassis chinois.

      Répondre
  • Boeing est en train de pousser Bombardier a faire une alliance avec les Chinois qui eux sont subventionnés par l’état. Ainsi Bombardier aiderait Comac à certifier le C919 pour le marché Chinois privant Boeing de ventes de son 737. Comac pourrait vendre ses avions le prix qu’il voudra. En fait Boeing a intérêt à ce que Comac se débrouille seul avec son avion. Plus il mette de la pression sur Bombardier plus il augmente le risque de coopération.
    Le gouvernement Canadien a dit qu’il allait revoir ses projets d’achats de matériels militaires chez Boeing. Il y a au moins 18 F18 d’une valeur de 2 milliards plus la possibilité du gros contrat de renouvellement. Mettons 60 F18 soit au moins 7 milliards. Le renouvellement des P3 Orion par des P8 de Boeing. Une douzaine de P8 c’est d’autres milliards.
    De plus Delta risque de moins acheter de Boeing car elle est venu témoigner en faveur de Bombardier. Delta a acheté des CS100, une catégorie que Boeing ne peut offrir.
    Boeing avait dit que la vente des 737-700 à United permettrait de garder la chaine d’assemblage en opération en attendant le 737Max7. Avec la conversion de United pour des 737Max8, il y a un vide et bloquer le CSeries pourrait le combler. Encore plus frustrant pour Boeing, c’est que United pourrait commander des CSeries finalement. Mais le CSeries, c’est l’innovation, c’est un petit 787, un petit A350. Il fait parti des avions du futur.
    Boeing essaie de bloquer un constructeur qui a pris des risques pour innover pour pouvoir continuer de vendre un avion qui a été conçu il y a 50 ans.

    Répondre
  • Francois W GAGNON

    Ce qu’il manque à COMAC pour aller vite c’est un réseau mondial de support et de pièces de même que l’expertise de développement et de certification, ce que BOMBARDIER peut leur apporter rapidement. Cela dérangera plus BOEING (et AIRBUS) que le C-SERIES. Ces deux grands auraient intérêt à composer avec BOMBARDIER comme stratégie (i.e. le long terme) plutôt que des tactiques qui n’ont que des portées à court terme et qui comportent de lourds effets collatéraux (i.e. perte des contrats Super Hornet, P8, etc. avec le Canada).

    Répondre
    • Gros Minet

      Les chinois ont beaucoup d’argent. S’il veulent monter un réseau, ils n’ont pas besoin de BBD pour ça. C’est pas si difficile.

      Répondre
  • Pour le transport, Bombardier est la clef de voûte pour la Chine!

    La Chine veut avoir les pieds en Europe pour le transport sur rail (trains ultra rapide en compétition avec les Italiens, la France), pour y arriver Bombardier Transport en serait une clef importante.
    Maintenant, avec qui M. Sabia veut-il acheter ses trains pour Montréal? La Chine.
    Et la Caisse de Dépôt est actionnaire de Bombardier Transport; maintenant les Chinois font affaire avec Bombardier en transport (trains) actuellement à Montréal.
    L’aviation et le train ne sont pas des compagnies indépendantes, elle relèvent du Gouvernement Chinois.
    Donc, la Chine a besoin de Bombardier pour son développement international. N’oubliez pas qu’Ils ont une ambition plus grande que seulement en aviation, le TRANSPORT dans son ensemble.

    Répondre
  • Le Renard et le Corbeau » d’apres une Fable de LA FONTAINE. Croac.. Croac.. mon petit Bombardier et laisse tomber ton fromage patenté.

    Répondre
  • Pas de vente ou de fusion. Des doutes sur autres choses oui….. mais les deux partis non pas encore définis du moins publiquement une collaboration qui pourrait être avantageuse pour Comac et Bombardier. Depuis 2013 Comac et Bombardier ont une collaboration limitée sur la Cserie . http://www.journaldemontreal.com/2017/05/20/la-c-series-dans-lil-du-dragon À SUIVRE AVEC UN TRÈS GRAND INTÉRÊT. C’EST PEUT-ÊTRE LA CARTE MAÎTRESSE DE BOMBARDIER, DU MOINS JE L’ESPÈRE.

    Répondre
  • L’entente avec le gouvernement du Québec comporte une close de »buy back », donc Bombardier pourrait très bien revendre cette participation a Comac pour disons 4 milliards (couvrir la moitié ou plus des coût de développement) et en redonner 1.5 à Québec qui ne perdrait pas la face envers la population car leur investissement aurait été payant, du même coup il pourrait gérer leur compagnie comme bon leur semble sans se retrouver avec des gens qui manifeste devant leur siège sociale et Comac étant gouvernementale la porte du marché chinois pour lequel le Cserie a été en parti conçu leur serait grande ouverte. Sans compter tout l’expertise que pourrait apporter BBD a Comac qui en a grand besoin, c’est un win-win comme on dit, donc si Comac reçoit les fonds nécessaire, cette alliance ce fera j’en suis certain.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *