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Des nouvelles de l’aéroport de Mascouche-Terrebonne

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Communiqué de presse – Pour diffusion immédiate

Relocalisation de l’aéroport de Mascouche

LA CORPORATION ACQUIESCE AUX DEMANDES GOUVERNEMENTALES

 Mascouche, le 7 avril 2017 – Pour accélérer la reprise des travaux d’aménagement pour la relocalisation de l’aéroport de Mascouche, la Corporation de l’aéroport de Mascouche et l’organisme à but non lucratif promoteur et responsable du projet ont officiellement déposé des demandes pour l’obtention de certificats de non-contravention aux règlements municipaux que les villes de Mascouche et de Terrebonne pourraient leur délivrer.

« Plutôt que d’attendre que la Cour statue suite à l’audition sur le fond qui a été devancée au 27 juin prochain, nous avons décidé d’aller de l’avant avec les demandes de certificats pour dénouer rapidement l’impasse à laquelle nous faisons face. Nous sommes confiants que les deux villes nous accorderont ces certificats puisque lors de l’audition en Cour d’appel, la Ville de Mascouche a non seulement manifesté son intention de délivrer un tel certificat si nous en faisions la demande, mais a aussi reconnu que sa réglementation est inapplicable pour le choix de l’emplacement et l’aménagement de l’aérodrome, puisqu’il s’agit de décisions de compétences exclusivement fédérales », précise Yvan Albert, président de la Corporation de l’aéroport de Mascouche et de l’OBNL.

 

De plus, même si le promoteur est en attente de réponses, il a entamé cette semaine les démarches pour également obtenir le certificat d’autorisation délivré par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC), conformément à l’article 22 de la Loi sur la qualité de l’environnement. Rappelons que cet article n’a pas pour effet d’interdire la réalisation des projets de développement qui font l’objet d’une demande, mais plutôt d’identifier, entre autres, les mesures de compensations dans le cas où le projet a des impacts sur l’environnement (le sol, l’air et l’eau).

« Nous sommes impatients de réaliser ce projet tant réclamé et attendu par plusieurs acteurs de la région. La preuve, en plus de l’Association des aviateurs et pilotes de brousse du Québec (APBQ) qui installera son siège social au nouvel emplacement, nous avons déjà une quarantaine de terrains vendus pour la construction de hangars privés et commerciaux. C’est donc dire que nous sommes déjà assurés d’avoir plus de hangars que lors de la fermeture de l’ancien aéroport par la Ville de Mascouche, et ce, malgré la suspension de la construction », ajoute M. Albert.

Rappelons qu’il est entendu qu’aucun travail n’est effectué tant et aussi longtemps que les autorités compétentes n’auront pas donné leur aval à la reprise des travaux ou que l’actuel jugement de la Cour d’appel qui l’empêche de le faire ne sera pas levé.

 

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