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Bombardier livre un autre avion CS300 à airBaltic

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English follows

1 juin 2017MontréalBombardier Inc.,  Avions commerciaux,  Communiqué de presse

Bombardier a livré aujourd’hui un autre avion CS300, moins d’une semaine après la livraison du premier CS300 de SWISS. Ce nouvel avion CS300 d’airBaltic sera présenté au Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace de Paris en juin 2017.

«La cadence de production des avions C Series augmente et nous sommes heureux de débuter le mois de juin avec une autre livraison d’avion C Series, »a déclaré Fred Cromer, président de Bombardier Commercial Aircraft. « Nous sommes fiers d’avoir remis un CS300 à airBaltic et nous sommes honorés que ce nouvel avion sera des nôtres au salon du Bourget. »

«Nous sommes fiers de prendre livraison de notre quatrième avion CS300 et nous sommes enthousiastes à l’idée de le présenter aux côtés de Bombardier à Paris», a déclaré Martin Gauss, président-directeur général d’airBaltic. « Nos passagers adorent voler à bord de l’avion C Series, et nous sommes ravis d’intégrer un autre avion CS300 dans notre réseau. »

En 2017, airBaltic prévoit ouvrir au moins 13 nouvelles liaisons avec l’avion CS300. La ligne aérienne exploite actuellement l’avion CS300 sur des routes populaires telles qu’Amsterdam, Barcelone, Rome, Moscou, Londres, Paris, Vienne, Athènes et Madrid.

À ce jour, Bombardier a livré 13 avions C Series.

L’avion C Series est fabriqué par la Société en commandite Avions C Series, une filiale du secteur d’activité Bombardier.

Bombardier Delivers an Additional CS300 Aircraft to airBaltic

June 1, 2017MontréalBombardier Inc.,  Commercial Aircraft,  Press Release

Bombardier delivered today another CS300 aircraft, less than a week after SWISS’ first CS300 delivery milestone. airBaltic’s new CS300 aircraft will be showcased at the 2017 International Paris Air Show.

“Production of the C Series aircraft is accelerating and we are excited to continue building the momentum by kicking off the month of June with another delivery,” said Fred Cromer, President of Bombardier Commercial Aircraft. “We are proud to have handed over a CS300 to airBaltic and are honored that this brand new aircraft will be joining us at the International Paris Air Show.”

« We are pleased to take delivery of our fourth CS300 aircraft, and are looking forward showcasing it alongside Bombardier in Paris, » said Martin Gauss, Chief Executive Officer of airBaltic. « Our passengers love to fly on the C Series aircraft, and we are thrilled to integrate another CS300 aircraft into our network. »

‎airBaltic is planning to open at least 13 new routes with the CS300 in 2017. The airline currently operate the CS300 aircraft on popular routes such as Amsterdam, Barcelona, Rome, Moscow, London, Paris, Vienna, Athens, and Madrid.

Bombardier has delivered 13 C Series aircraft to date.

The C Series Aircraft Limited Partnership manufactures the C Series Aircraft, and is an affiliate of the Bombardier Commercial Aircraft segment of Bombardier Inc.

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10 avis sur “Bombardier livre un autre avion CS300 à airBaltic

  • «La cadence de production des avions C Series augmente» a déclaré Fred Cromer, président de Bombardier Commercial Aircraft.

    Est-ce que les sceptiques seront confondus?
    Est-ce que Bombardier va atteindre sa prévision de 30 à 35 livraisons de C Series en 2017?

    L’année avance sans que Bombardier n’annonce de révision de cette prévision.

    À moins d’un événement externe inattendu et incontrôlable, je suis porté à croire que la prévision sera effectivement atteinte.

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    • André Allard

      Comme je l’ai déjà dit, il se peut que les clients qui ne seront pas en mesure d’intégrer autant d’avions dans leur flotte ne savent pas. En location, un C Series coûte environ 300 000$ US par mois, soit 10 000$ par jour; si le client n’est pas prêt à intégrer l’appareil dans sa flotte, alors la meilleur décision est de reporter la prise de possession. Évidement BBD pourrait utiliser la méthode Brault & Martineau pour atteindre son objectif, c’est à dire: Hé les clients vous prenez livraison maintenant et aucun paiement ni intérêt jusqu’au moment de mettre l’appareil en service.

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      • Par contre ils livrent l’avion entre 6h et 21h et si t’es pas là pour la livraison ils repartent avec!

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  • Reporter la prise de possession ferait surement l’affaire de bombardier,si respecter la cédule 30/35 en 2017 devient ou est déjà problématique. De cette manière on ne saura jamais si bombardier aurait pu respecter sa cédule 30/35. Peut-être que la compagnie pourrait en bout de ligne respecter sa cédule de livraison. mais avec combien de stress sur les employé-es. Ce qui n’est jamais une bonne chose pour les employé-es. Une cédule quand elle est établit, on connaît pas touts les petits ou gros problèmes qui peuvent survenir en court de route. Pas de panique, les vacanciers attendes pas en ligne dans un aéroport un Cserie pour partir en voyage. Si la cédule 30/35 peut-être respecter sans problème, mais que le client en veut pas tout de suite de livraison, la méthode suggéré par André serait un alternative si les deux partis sont d’accords je crois.

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  • François Bouchard

    M. Allard, je ne comprends toujours pas cette histoire d’intégration que vous ramenez en boucle. Quand un contrat de vente a été signé entre deux parties, il y a nécessairement un échéancier/cadence de livraison incluse au contrat d’achat. Sinon, comment voulez-vous que le fabricant bâtisse ses prévisions! Maintenant que les avions sont finalement disponibles au compte goutte et avec des années de retard, on peut supposer que tout le monde en veut et au plus vite alors ça doit être un casse-tête pour les gens qui négocient les dates finales à savoir qui je sers avant l’autre. Il n’y a certainement pas de problème pour Bombardier à ce moment ci avec l’intégration des avions dans les flottes de leurs clients. Bref: «Si t’es pas prêt mon homme, on l’envoie au suivant. Ce n’est pas un problème, ça fait la file à la porte de mon bureau».

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    • André Allard

      Les numéros de série des avions figurent habituellement dans le contrat et il n’est ps possible de les réassigner à un autre client car souvent il y a des petites différence d’un client à l’autre. Il y a effectivement un échéancier de livraison qui est établi et il peut aussi y avoir un espacement minimum prévu entre les livraisons. Pour mettre un avion en service il faut d’abord ouvrir sa documentation et le mettre à jour. Ce qui explique qu’un avion qui vient juste d’être livré ne parte pas immédiatement en vol. Ensuite il y a la formation des techniciens et équipages en vol. Il n’est pas possible pour une compagnie aérienne de retirer tous les équipages dont elle a besoin pour le C Series et de les former tous en même temps. D’abord parce qu’ils volent sur les vieux appareils qu’il faut maintenir en opération avant qu’un C Series ne prenne sa place. Après leur formation initiale, les pilotes de ligne doivent passer une formation récurrente à tous les six mois et une annuelle. Il est totalement inutile et contre-productif de former un pilote plus de six mois avant qu’il ne soit affecté sur un nouveau type car comme il n’aura pas l’occasion de mettre en pratique sa formation il en aura oublié une partie importante.

      En plus de cela, le C Series est un tout nouveau type d’appareil, il n’y a pas de pilote qui ont beaucoup d’heures sur type qui peuvent agir comme commandant. Ainsi presque tous les premiers pilote de SWISS et d’Air Baltic qui sont sur le C Series au début sont ceux qui agiront comme commandant l’année prochaine. Par exemple un pilote qui a 10 000 heures de vol et qui est commandant sur A320 par exemple ne peut agir comme commandant sur C Series dès le lendemain de sa formation. C’est pour cette raison qu’il doit y avoir un espacement minimum entre les livraisons afin d’être en mesure de former graduellement les pilotes. SWISS est quand même une toute petite compagnie aérienne qui ne compte que 75 appareils environ. Même les les trois géants américain qui ont plus de 700 appareils considèrent que c’est un exploit que d’intégrer un nouvel appareil par semaine.

      Un avion ce n’est pas des saucisses que l’on livre chez Valentine et qui sont prêtes à servir dès qu’elles ont été livrées; c’est beaucoup plus complexe.

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      • François Bouchard

        Je comprends vos explications mais je pense que ça ne faut que confirmer ma prétention comme quoi il n’y a aucun problème. Si tout est prévu jusqu’au numéro de série alors quoi? De plus, un numéro c’est juste une suite de chiffres qui identifie un avion, une tondeuse ou même un vélo, ça ne veut pas nécessairement dire que c’est une suite séquentielle immuable. D’ailleurs, on voit bien que les livraisons ne suivent pas les numéros de série.

        Bref, je ne suis toujours pas d’accord. Je suis certain que les compagnies négocient leurs dates de livraison et sont aseez grandes pour être prètes à les accueillir. Pour l’heure, ce n’est certtainement pas les demandeurs qui manquent. Ils ont prévu en livrer 120 par année une fois la production à maturité, s’il y avait déjà un problème, on ne se rendrait jamais là.

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        • en plus des avions, chaque sous-ensemble est sérialisé et associé à un numéro d’avion. Parfois ils sont interchangeable mais pas toujours. Un client doit confirmer qu’il prendra l’avion en question plusieurs mois à l’avance, avant même que l’assemblage final débute. On a vu avec les 3 avions de Brathens qui sont sur le tarmac depuis un an, si Bombardier pouvait les passer à un autre client il le ferait mais ça ne semble pas possible.

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        • André Allard

          Les dates de livraisons font effectivement partie de la négociation d’un contrat. À moins que je ne me trompe, lors de la détermination de la cédule de livraison à SWISS, BBD n’avait certainement pas prévu être deux mois sans faire de livraison. Puisque BBD a manqué ses dates de livraison, elle doivent être reportées à la convenance du client. SWISS avait prévu prendre possession de 15 appareils en 2017, mais à un rythme d’un peu plus d’un appareil par mois, pas 5 dans la première moitié de l’année puis dix dans les six derniers mois.

          Quand la production du C Séries atteindra 120 avions par année, BBD livrera alors à plusieurs clients en même temps de sorte que Delta pourrait recevoir 4 C series par mois, Air Canada 2 ou 3 puis les autres clients plus petits en prendront un par mois. Peu importe la compagnie aérienne et le fabricant, les livraisons de toutes les grosses commandes de 50 ou 60 avions durent toujours plusieurs années et ce n’est pas parce que les constructeurs n’ont pas de créneaux de livraisons disponible.

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