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Bombardier confirme la nomination d’Éric Martel

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Bombardier annonce un changement à la direction

  • Éric Martel succède à Alain Bellemare à titre de président et chef de la direction

MONTRÉAL, 11 mars 2020 (GLOBE NEWSWIRE) — Bombardier (TSX: BBD.B) a annoncé aujourd’hui qu’Éric Martel est nommé président et chef de la direction et membre du conseil d’administration de Bombardier, et ce, à compter du 6 avril 2020.

Éric Martel était président et chef de la direction d’Hydro-Québec depuis juillet 2015. Avec des revenus d’environ 10 milliards $ US, Hydro-Québec est l’un des plus grands producteurs d’hydroélectricité au monde. Avant de se joindre à Hydro-Québec, Éric Martel a occupé plusieurs postes de direction chez Bombardier, notamment celui de président de la division Avions d’affaires et de président de la division Services à la clientèle et Avions spécialisés.

« Éric est le bon leader au bon moment pour Bombardier, alors que l’entreprise achève son plan de redressement et se concentre sur la croissance de ses activités d’avions d’affaires à l’avant-garde de l’industrie. C’est un mobilisateur et un bâtisseur. Il a une connaissance profonde de notre entreprise et de notre portefeuille de produits, ainsi que de l’industrie mondiale des avions d’affaires. Il a connu beaucoup de succès dans sa carrière par son souci de l’excellence opérationnelle, sa gestion serrée des processus manufacturiers complexes et son approche personnalisée de la clientèle », a déclaré Pierre Beaudoin, président du conseil d’administration de Bombardier.

Éric Martel est titulaire d’un baccalauréat en génie électrique de l’Université Laval et il est membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec. En plus de son expérience acquise chez Bombardier, il a occupé des postes de direction chez Pratt & Whitney, Rolls Royce, Procter & Gamble et Kraft Foods. Il siège par ailleurs au conseil du Partenariat mondial pour l’électricité durable et préside la Communauté électrique du Forum économique mondial (Davos). 

« Je suis honoré et emballé de revenir chez Bombardier alors que l’entreprise entame un nouveau chapitre de son histoire. J’ai toujours été passionné par Bombardier, ses employés et ses produits, et j’ai hâte de contribuer à bâtir une entreprise prospère, agile et ciblée, capable de fournir un service inégalé aux clients, d’offrir des occasions de calibre international aux employés et de créer de la valeur pour les actionnaires », a déclaré Éric Martel.

Le plan de redressement de cinq ans étant presque terminé, les membres du conseil, y compris Alain Bellemare, ont conclu à l’unanimité que le temps était venu qu’un nouveau leader prenne les rênes de l’entreprise.

« Au nom de l’ensemble du conseil d’administration, je tiens à remercier Alain pour le leadership qu’il a exercé au cours des cinq dernières années, a déclaré M. Beaudoin. Il a présidé à une transformation importante et complexe de l’entreprise afin de répondre aux défis posés par des actifs sous-performants, des enjeux majeurs dans des programmes et son bilan, tout en positionnant Bombardier sur la voie du succès en tant qu’entreprise centrée sur l’aviation d’affaires. Nous lui sommes reconnaissants pour sa contribution et nous lui souhaitons le meilleur pour ses projets futurs », a conclu M. Beaudoin.

« Ce fut un privilège de diriger Bombardier durant sa transformation », a déclaré pour sa part Alain Bellemare. « Je suis incroyablement fier du travail accompli par nos employés talentueux. Ils ont su relever de nombreux défis et jeter les bases de la réussite future de l’entreprise. Le chapitre du redressement étant clos, c’est un bon moment pour moi de passer à autre chose. Je remercie Pierre et les membres du conseil d’administration pour leur soutien indéfectible au cours des cinq dernières années alors que nous traversions une transformation complexe. Je suis convaincu que l’avenir de Bombardier est prometteur et j’ai hâte de voir tout ce qu’elle réalisera dans les années à venir », a conclu M. Bellemare.

À propos de Bombardier
Avec plus de 60 000 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.

Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier a des installations de production et d’ingénierie dans plus de 25 pays, couvrant les deux secteurs Transport et Aviation. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2019, nos revenus ont été de 15,8 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

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8 avis sur “Bombardier confirme la nomination d’Éric Martel

  • François Bouchard

    Ça fait drole d’entendre de sim bons mots de Pierre Beaudoin alors qu’ils l’avaient licencié il y an cinq ans.

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  • louis martineau

    Alain Bellemare à été nommer le 12 février 2015 comme PDG avec entrer en fonction officiel le 13 février. Eric Martel qui était chez Bombardier depuis 2002 à quitter le 18 mai 2015 et deux semaines plus tard il était nommer par le gouvernement au poste de PDG d’Hydro Québec avec entrer en fonction officiel le 06 juillet 2015. Éric Martel va entrer en fonction officiel comme PDG de Bombardier aviation le 06 avril 2020. Certaines rumeurs en 2015 mentionnent que c’est le PDG actuel qui ne le voulait pas dans son équipe qui avait commencer à former d’est son entrer en fonction. D’autres mentionnent qu’Éric Martel n’a pas obtenu le poste qui aurait aimer avoir dans l’équipe d’Alain Bellemare, alors il aurait donc préférer démissionner. Rumeurs qui ne fût jamais confirmer ou affirmer à ma connaissance. Pas sur que changer de capitaine avant que toutes les transactions de février 2020 soient compléter soient la bonne chose à faire. La transaction pour la vente de la division transport est prévu dans le premier semestre 2021. Si c’est lui qui à demander de partir c’est une chose mais si c’est l’actionnaire de contrôle qui lui à fait savoir qu’il était temps de partir c’est autre chose. Son départ qui semble à prime abord soudain et imprévu, laisse voir pour moi une lutte de pouvoir avec l’actionneur de contrôle. Pour l’instant c’est silence radio. Bizarre que des sources interne chez Hydro Québec selon des médias mentionnent que le gouvernement devait le nommer bientôt pour un second mandat de 05 ans toujours chez Hydro Québec.

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  • louis martineau

    Corr: .. faut lire …. actionnaire de contrôle mais non « actionneur »

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  • Normand Hamel

    @François Bouchard

    En fait c’est Alain Bellemare qui était en poste au moment du départ d’Éric Martel. Ce dernier remplace donc celui qui l’avait remercié. Il est cependant permis de se poser la question suivante: si Pierre Beaudoin avait été remplacé par Éric Martel en 2015 plutôt que par Alain Bellemare, est-ce que Bombardier existerait encore aujourd’hui?

    Autrement dit est-ce qu’Éric Martel aurait fait mieux ou pire qu’Alain Bellemare? Je mets au défi quiconque de répondre intelligemment à cette question.

    Pour ma part je suis incapable d’y répondre adéquatement car j’ai toujours eu énormément d’estime pour Alain Bellemare tout en ayant également beaucoup d’estime pour Éric Martel. Je ne perçois cependant pas Éric Martel comme un sauveur car il ne reste plus grand chose à sauver de toute façon. Mais en 2015 je voyais effectivement Alain Bellemare comme un sauveur et il a bien rempli son mandat qui était de sauver Bombardier alors techniquement en faillite, et ce bien avant qu’il n’arrive.

    C’est Pierre Beaudoin qui amené Bombardier au bord du gouffre et non pas Alain Bellemare qui a fait tout ce qu’il pouvait. La seule question que je me pose à son égard est la suivante: est-ce qu’il a bien géré la division Transport? J’ai des doutes sérieux à cet égard car de nombreux présidents sous sa direction (presque un par année) ont dû quitter. Malgré cela la situation de la division Transport a continué de se détériorer. Je me demande donc quel rôle a joué Alain Bellemare dans la débandade de Bombardier Transport.

    Mon impression est qu’Alain Bellemare a peut-être trop fait de coupures, et aux mauvais endroits. Un peu à la manière de Jack Welch chez GE. Je pourrais même dire un peu à la manière de Boeing même si la division aéronautique de Bombardier semble bien aller malgré tous les efforts de Pierre Beaudoin pour la détruire. Car c’est bien PB, et non pas AB, qui a englouti 3 milliards de dollars dans le Lear 85, et c’est ce qui a conduit Bombardier au bord de la faillite en 2015.

    Un peu plus d’humilité de la part de Pierre Beaudoin aurait peut-être permis de sauver les meubles. Entreprendre le CSeries était déjà très ambitieux, surtout dans un contexte où le Global 7000 devenait inévitable. Cependant le Lear 85 lui n’était pas que trop ambitieux mais était surtout une démonstration de l’arrogance de Bombardier à l’époque.

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