Aéropod

Discussion sur le départ hâtif d’Alain Bellemare

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Le dernier épisode de l’Aéropod est maintenant disponible. On y parle entre autres du départ hâtif d’Alain Bellemare de la direction de Bombardier. 

Malgré la crise de la COVID-19, l’actualité aéronautique se poursuit et nous en parlons. 

Il y a le transport d’urgence par hélicoptères, la Grande-Bretagne qui quitte l’EASA, ça allait bien chez Transat et à ADM au début de l’année, Comac augmente sa capacité de production et rien ne va plus à Renton.

Un autre épisode bien chargé, cliquez ici pour télécharger le podcast, cliquez ici

Les Ailes du Québec se joint à Mentoraero pour produire l’Aéropod, des podcast sur l’actualité aéronautique.

André Allard des Ailes du Québec et Gregory Blanc de Mentoraero sont les commentateurs. C’est Claudia Ouellet qui anime et discipline les deux avgeek.

La formule se rapproche de celle du blogue alors que nous discutons de sujets d’intérêt. Si vous avez des commentaires ou des corrections à apporter, nous vous invitons à le faire. Éventuellement, il sera possible d’enregistrer vos commentaires pour les faire entendre sur l’Aeropod.

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6 avis sur “Discussion sur le départ hâtif d’Alain Bellemare

  • Le départ d’Alain Bellemare (et les autres qui vont suivre) était prévisible quand ils ont insisté à pouvoir vendre leur stock options à CA$ 5.4 par action en été 2018.

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  • Tom Laflamme

    Le sale boulot à été fait et on balance le pdg comme un bouc émissaire en espérant rassurer les actionnaires restant.

    Il ne faut pas être dupe, tout à été piloté et endossé par le conseil d’administration, Pierre Beaudoin qui fut l’artisan de ce désastre est encore aux commande du conseil d’administration et rien ne peut être fait sa l’accord de la famille.

    En tout cas, on peut dire aujourd’hui que Bombardier à sorti des avions commerciaux au bon moment, la prochaine année va être difficile pour bien des gens et le monde de l’aviation ne va pas y échapper.

    Bonne chance à tous.

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    • Ca sera pas mieux dans les jets d’affaires. En temps de crise on coupe tout ce qui est pas essentiel. Les riches eux aussi perdre de l’argent (pas mal en plus) donc l’industrie coté ventes, ca risque d’etre assez anémique merci et il a pas mal de risque d’annualtion de commandes.Présentement les frontières sont fermés (a par pour les américains) donc si un client européen ou du reste de la planète veut prendre possession de son avion a etre livré c’est impossible. Bombardier poura pas dépenser de l’argent pour batir des avions si il y a pas d’argent qui rentre. Les usines vont probablement fermer dans pas long. Et ensuite si ca dure trop longtemps ca pourais etre la fin pour Bombardier malheureusement.

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  • BernardP

    Alain Bellemare a fait ce qu’il pouvait pour préserver ce qu’il pouvait de Bombardier. Probablement que « s’il avait su, il ne serait pas venu ».

    Avec seulement les avions d’affaires comme activité résiduelle, il était prévisible que M. Bellemare chercherait bientôt à relever de « nouveaux défis ».

    Je suis curieux de voir où il va atterrir.

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  • louis martineau

    VV …Non, je crois pas qu’il y a nécessairement un rapport entre la vente des stocks options en bourse et le départ du PDG. Ces ventes d’options consentie par la politique de rémunération de bombardier à ces dirigeants comme toutes entreprises fait en occident pour recruter des gens qui on un C/V en phase avec les exigences de l’emplois, n’est pas différente des autres compagnies dans le secteur aéronautique/aérospatiale. Mais pour l’imaginaire collectif de certaines gens sa pourraient avoir eu comme un effet de levier sur les problèmes financiers de l’avionneur. Aucune personnes moindrement informer ne va croire a ces balivernes tous croches qui à servis a un défoulement pour ceux qui en avaient de besoin en l’expriment sur le web. Pour éviter ces débordements émotifs irrationnels sans rapport avec la situation financière de la compagnie, l’exercice de ces ventes auraient sans doute dû être reporter après que l’avionneur est été en meilleur position. Pour le départ d’Alain Bellemare moi j’y vois plutôt une lutte de pourvoir entre l’Actionnaire de contrôle et le PDG sur l’opportunité de la vente de certaines divisions et/ou programmes d’avions et du ferroviaire en particulier. Quand tu a une dette de 9 milliards + et que le gouvernement provincial dit à répétition qu’il ne mettrait plus une « cent » pour sauver tous les divisions et/ou programmes de développements/fabrications avant qu’un revirement majeur soit cautionner par l’actionnaire de contrôle pour que ces mandataires qui gèrent l’exploitation au jour le jour puissent initier et complété cette dernière chance de sauver le seul avionneur québécois que dire de plus. Et que dire en plus du Fédéral qui demeura presque silencieux devant cette débâcle qui se profilait à l’horizon. Alors que fallait t-il faire pour sauver non seulement la compagnie mais aussi des milliers et milliers d’emplois en privilégiant la division avions d’affaires aux détriments des autres actifs. Et oui que fallait-il faire ????. Un choix d’affaire brutal à été fait en toute logique économique dont un certain dirigeant (semble pour l’instant) en avoir payer le prix pour avoir démontrer du leadership et surtout démontrer financièrement que deux fait toujours quatre en comptabilité. Dans le passé d’avant le 13 février 2015 certains dirigeants et ex-dirigeants semblaient croire que 2×2 fessait 8 et bien sa donner en début de 2015 une dette d’environ 7 milliards + dont il a été impossible selon le PDG actuel d’arrêter son gonflement par le virus du 2×2 égale 8 qui à contribuer de ce que je comprend à la très grosse « balloune » 🤔 de 9 milliards + en début de 2020. Certains dirigeants semblent encore et encore croire que l’ancienne méthode de faire pour obtenir du financement gouvernemental était de « crouser » les différents paliers gouvernementaux et que par miracle où presque les $$$$ vont tomber dans la cagnotte de la compagnie sans rendre des comptes en toute logique comptable. C’est plus qu’évident que cette façon de faire est terminer puisque les paliers gouvernementaux qui venaient en aide dans le passé le crie haut et fort publiquement et sans gêne. La nouvelle marotte gouvernemental est d’appliquer la notion juridique de l’imputabilité aux compagnies dont ils pourraient êtres justifier d’aider financièrement. Peut-être que certains parmi l’Actionnaire de contrôle non pas compris. En changement le capitaine A/B qui était rendu près de la rivière après avoir patauger dans le marécage avec son équipe depuis le 13 février 2015, certains gestionnaires derrières les rideaux en position de contrôle on peut-être penser à l’ancienne méthode de faire pour avoir du financement publique. Si c’est le calcul qu’a fait certaines gens en position de contrôle pour justifier ce départ soudain et inattendu et non justifier à date selon de ce que je peu comprendre et bien moi je crois que c’est une grave erreur de jugement. Le nouveau PDG Éric Martel qui entre en fonction le 06 avril prochain n’est quand même pas un inexpérimenté dans la conduite d’une compagnie il ne lui reste quand traverser la rivière que je nommerais A/B pour la suite des événements à venir. Sa prendre beaucoup de leadership au nouveau PDG et à son équipe pour mener leur barque l’autre côté de la rivière sans doute encore un peu houleuse. Alain Bellemare n’a pas la réputation d’être un oui/oui messieurs je vais changer ma prise de décisions pour vous accommoder. Le temps nous dira si Éric Martel est de même calibre, si oui et pour l’instant j’en doute pas, moi je pense qu’il va mener bombardier avions d’affaires vers un succès assurer pour cette seul division qui reste et évidemment pour ces milliers de travailleurs et travailleuse et leurs familles et l’économie du Québec et canadienne aussi. Comme il ne reste qu’une seul division d’affaire à l’avionneur sa sera comme on dit parfois ça passe ou ça casse, avec le leadership du nouveau capitaine E/M et la solidarité de tous ces salarié-es moi je reste quand même confient pour le futur. Avec ces milliers de rameurs salarié-es la rivière sera vite traverser pour gagner la terre ferme. Sa pourrait être un peu plus long dû cette « bibitte » nommer covid-19 mais comme toute pandémie de ce genre sa fini toujours par disparaître. Note: Un peu long comme texte, en espérant que google à mécaniquement corriger mais fautes et pour le style et la syntaxe c’est pas grave la Reine d’Angleterre ne liera pas du moins j’espère. 😂🤣.

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    • louis martineau

      Corr: faut lire ……deux plus deux font toujours quatre en comptabilité.

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