BombardierCommuniqués de presse

Importante restructuration de Bombardier Aéronautique

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Dans le communiqué qui suit, Bombardier annonce qu’elle regroupe toute ses activités aéronautiques dans une seule entreprise qui sera sous la direction de David Coleal.  Les Usines de Belfast et du Maroc sont mis en ventes.

 

Bombardier présente ses résultats financiers du premier trimestre de 2019 et annonce une nouvelle direction stratégique pour ses activités aéronautiques avec la création de Bombardier Aviation

  • Résultats du premier trimestre conformes aux résultats préliminaires annoncés la semaine dernière.
  • Annonce de la formation stratégique de Bombardier Aviation consolidant tous les actifs aéronautiques dans une seule structure simplifiée et pleinement intégrée. Par conséquent, Bombardier poursuivra la cession de ses activités liées aux aérostructures de Belfast et du Maroc.

 

Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, à moins d’indication contraire. Les montants des tableaux sont en millions, sauf les montants par action, à moins d’indication contraire.

 

MONTRÉAL, 02 mai 2019 (GLOBE NEWSWIRE) — Bombardier (TSX: BBD.B) a annoncé aujourd’hui ses résultats financiers du premier trimestre de 2019, conformes aux résultats préliminaires annoncés le 25 avril 2019. L’entreprise a aussi annoncé qu’elle consolidera ses actifs aéronautiques en un seul secteur d’activité simplifié et pleinement intégré, Bombardier Aviation, lequel secteur sera dirigé par David Coleal.

 

« Nous sommes très heureux d’annoncer la formation stratégique de Bombardier Aviation, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Il s’agit de la bonne prochaine étape de notre transformation. La consolidation des activités aéronautiques simplifiera notre structure et la rendra plus ciblée sur nos marques phares : Global, Challenger, Learjet et CRJ. Elle nous permettra aussi de mieux soutenir nos clients et de générer plus de valeur pour nos actionnaires. »

 

Avec la vision claire que nous avons pour l’avenir de Bombardier Aviation, nous axerons nos activités aérostructures sur nos capacités stratégiques situées à Montréal, au Mexique, ainsi que sur les activités reliées aux ailes d’avions Global 7500 récemment acquises au Texas, a poursuivi M. Bellemare. Ces installations fournissent collectivement toutes les compétences, technologies et capacités pour concevoir et produire les avions d’aujourd’hui et de demain, et en assurer la maintenance. »

 

Tout en progressant dans l’optimisation de son empreinte manufacturière mondiale, Bombardier poursuivra la cession de ses activités d’aérostructures de Belfast et du Maroc. Ce sont de formidables activités aux capacités immenses.

 

Bombardier Aviation continuera d’être le leader mondial sur le marché des avions d’affaires et d’être en bonne position pour maximiser la valeur de ses jets régionaux CRJ qui ont fait leurs preuves. Bombardier Aviation et Bombardier Transport constitueront les deux piliers de l’avenir de Bombardier.

 

Résultats financiers

Le RAIIA ajusté(1) et le RAII ajusté(1) du premier trimestre de 2019 ont été respectivement de 266 millions $ et de 171 millions $ sur des revenus de 3,5 milliards $. Sur une base de présentation, le RAII a été de 684 millions $, tiré à la hausse par un gain de 516 millions $ réalisé sur la cession des activités de formation close au cours du trimestre. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles(1) du premier trimestre a été de 1,0 milliard $, en appui à l’intense accélération de projets ferroviaires clés et des livraisons d’avions Global 7500 au second semestre de l’exercice. L’utilisation de flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles a été de 907 millions $ au premier trimestre.

Tel qu’annoncé la semaine dernière, la prévision des revenus sur base consolidée de Bombardier pour 2019 a été ajustée pour tenir compte des attentes révisées pour Transport et Avions commerciaux. Les revenus de l’exercice complet devraient désormais s’établir à environ 17,0 milliards $, environ 1,0 milliard $ de moins que ce qui était prévu au départ. Par rapport à ceux de l’exercice précédent, la prévision révisée des revenus représente une croissance interne des revenus d’environ 10 % par rapport à ceux de 2018, compte non tenu de l’incidence des taux de change et des cessions.

Tandis que les revenus tirés des activités aéronautiques devraient être inchangés, la prévision de RAII ajusté de Transport est réduite d’environ 150 millions $ pour l’exercice. Par conséquent, la Société prévoit désormais présenter un RAIIA ajusté consolidé de 1,50 à 1,65 milliard $, ce qui représente une croissance de presque 20 % sur douze mois. La prévision du RAII ajusté consolidé a également été révisée et devrait être désormais de 1,0 à 1,15 milliard $.

Commentant les défis liés à la hausse des cadences de production chez Transport, M. Bellemare a déclaré : « Malgré les défis industriels que nous avons à relever actuellement, les facteurs fondamentaux de notre secteur d’activité Transport demeurent très solides. Nous avons un portefeuille de produits actualisé, un large bassin mondial de clients et un solide carnet de commandes totalisant 34 milliards $. L’équipe progresse constamment dans la gestion de nos projets ferroviaires existants difficiles. Il nous faudra cependant quelques trimestres de plus pour achever ces projets. »

La prévision de flux de trésorerie disponibles pour l’exercice demeure inchangée, soit des flux de trésorerie disponibles neutres plus ou moins 250 millions $, alors que les livraisons d’avions Global 7500et celles réalisées dans le cadre des principaux projets de Transport devraient s’accélérer au cours du second semestre de l’exercice.

Résiliation du Régime d’aliénation de titres automatique

Bombardier a aussi annoncé aujourd’hui que son conseil d’administration, sur la recommandation de son comité des ressources humaines et de la rémunération, a décidé de résilier son Régime d’aliénation de titres automatique (RATA) établi le 15 août 2018 conformément à ses modalités.

PRINCIPAUX RÉSULTATS

RÉSULTATS DU TRIMESTRE
Trimestres clos les 31 mars 2019 (2) 2018 Écart
Revenus 3 516 $ 4 028 $ (13 )  %
RAII 684 $ 201 $ 240 %
Marge RAII 19,5 % 5,0 % 1 450 pdb
RAII ajusté 171 $ 201 $ (15 )  %
Marge RAII ajustée(1) 4,9 % 5,0 % (10 )  pdb
RAIIA ajusté 266 $ 265 $
Marge RAIIA ajustée(1) 7,6 % 6,6 % 100 pdb
Résultat net 239 $ 44 $ 443 %
RPA dilué (en dollars) 0,08 $ 0,01 $ 0,07 $
Résultat net ajusté(1) (122 )   $ 35 $ ins
RPA ajusté (en dollars)(1) (0,07 )   $ 0,01 $ (0,08 )  $
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles (907 )   $ (471 )   $ (93 )  %
Additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles 137 $ 250 $ (45 )  %
Utilisation des flux de trésorerie disponibles (1 044 )   $ (721 )   $ (45 )  %
Aux 31 mars 2019 31 décembre 2018 Écart
Sources de financement disponibles à court terme(3) 4 169 $ 4 373 $ (5 )  %
Carnet de commandes (en milliards de dollars) 53,2 $ 53,1 $

RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS

Avions d’affaires

Résultats du trimestre
Trimestres clos les 31 mars 2019 2018 Écart
Revenus 970 $ 1 110 $ (13 )  %
Livraisons d’avions (en unités) 24 31 (7 )
RAII 594 $ 97 $ 512 %
Marge RAII 61,2 % 8,7 % 5 250 pdb
RAII ajusté 74 $ 98 $ (24 )  %
Marge RAII ajustée 7,6 % 8,8 % (120 )  pdb
RAIIA ajusté 114 $ 114 $
Marge RAIIA ajustée 11,8 % 10,3 % 150 pdb
Additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles 84 $ 188 $ (55 ) %
Aux 31 mars 2019 31 décembre 2018 Écart
Carnet de commandes (en milliards de dollars) 14,9 $ 14,3 $ 4 %
  • Les revenus ont totalisé 970 millions $ pour 24 avions, alors que l’accélération des livraisons se poursuit au cours de l’exercice afin d’atteindre les prévisions pour l’exercice complet.
  • Les revenus tirés des services après-vente ont continué de croître d’un taux à deux chiffres, 20 % sur douze mois, soutenus par une stratégie visant à étendre notre présence et à nous rapprocher de nos clients. Au cours du trimestre, Avions d’affaires a annoncé l’agrandissement de son centre de service de Singapour afin de rehausser ses capacités de service à la clientèle dans la région de l’Asie-Pacifique d’ici 2020.
  • La marge RAII ajustée de 7,6 % reflète l’accélération de la cadence de production de l’avion Global 7500 et l’augmentation des revenus tirés des services après-vente. L’intensification des activités de l’avion Global 7500 devrait peser sur le résultat d’ici à ce que la marge RAII ajustée amorce une reprise vers la prévision pour l’exercice complet de 7,5 %.
  • Le RAII de 594 millions $ présenté pour le trimestre découle en grande partie du gain de 516 millions $ réalisé lors de la vente à CAE des activités de formation d’Avions d’affaires.
  • Le carnet de commandes a augmenté de 0,6 milliard $ pour atteindre 14,9 milliards $, le plus important de l’industrie, ce qui reflète le vif intérêt du marché dans toutes les régions et pour tous les types de clients.
  • L’avion Global 7500 accumule les records et continue de dépasser les attentes sur le plan de l’expérience cabine et des performances. L’intérêt que suscite cet avion d’affaires unique en son genre ne fait que s’intensifier depuis sa mise en service à la fin 2018, comme en témoigne la confirmation récente d’une commande de quatre avions d’affaires Global 7500 passée par HK Bellawings.

Avions commerciaux

Résultats du trimestre
Trimestres clos les 31 mars 2019 2018 Écart
Revenus(4) 241 $ 463 $ (48 )  %
Livraisons d’avions (en unités)(5) 4 8 (4 )
Commandes nettes (en unités) 16 4 12
Ratio de nouvelles commandes sur livraisons(6) 4,0 0,5 3,5
RAII(7) 22 $ (73 )   $ ins
Marge RAII(7) 9,1 % (15,8 )  % 2 490 pdb
RAII ajusté(7) 22 $ (73 )   $ ins
Marge RAII ajustée(7) 9,1 % (15,8 )  % 2 490 pdb
RAIIA ajusté(7) 25 $ (72 )   $ ins
Marge RAIIA ajustée(7) 10,4 % (15,6 )  % 2 600 pdb
Additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles (1 )  $ 16 $ ins
Aux 31 mars 2019 31 décembre 2018 Écart
Carnet de commandes (en unités)(8) 109   97 12
  • Les revenus ont été de 241 millions $ pour le trimestre, une baisse par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent en raison du retrait des résultats de SCACS du périmètre de consolidation à partir du troisième trimestre de 2018 et de la réduction du nombre de livraisons d’avions.
  • Le RAII de 22 millions $ reflète le retrait des résultats de SCACS du périmètre de consolidation, une proportion accrue de revenus tirés des services après-vente et une gestion proactive du risque relatif aux garanties de valeur résiduelle.
  • Au cours du trimestre, une filiale de Chorus Aviation Inc. a conclu une entente d’achat ferme visant neuf avions CRJ900. Ces avions seront exploités par Jazz Aviation s.e.c. qui sera le premier exploitant canadien à offrir la nouvelle cabine ATMOSPHÈRE.
  • Avions commerciaux a lancé l’avion CRJ550. Tirant parti de la plateforme d’avions actuelle, il est conçu pour remplacer la flotte existante d’avions de 50 places vieillissants tout en maximisant le potentiel de revenus en proposant une cabine offrant trois classes. United Airlines est l’exploitant de lancement de ce nouveau modèle.
  • Le nombre de livraisons prévues d’Avions commerciaux pour l’exercice a été revu à la baisse à environ 30 avions, étant donné la clôture de la cession du programme d’avions Q400, qui devrait maintenant se conclure au milieu de l’année. La prévision de revenus pour l’exercice a par conséquent été ajustée à environ 1,15 milliard $, la prévision du RAII ajusté(7) demeurant inchangée, soit une perte d’environ 125 millions $.

Aérostructures et Services d’ingénierie

Résultats du trimestre
Trimestres clos les 31 mars 2019 2018 Écart
Revenus 470 $ 446 $ 5 %
RAII 66 $ 46 $ 43 %
Marge RAII 14,0 % 10,3 % 370 pdb
RAII ajusté 66 $ 47 $ 40 %
Marge RAII ajustée 14,0 % 10,5 % 350 pdb
RAIIA ajusté 78 $ 60 $ 30 %
Marge RAIIA ajustée 16,6 % 13,5 % 310 pdb
Additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles 25 $ 10 $ 150 %
  • Les revenus d’Aérostructures et Services d’ingénierie ont augmenté par rapport à ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent pour s’établir à 470 millions $, tandis que l’accélération de la cadence de production des programmes des avions Global 7500 et A220 se poursuivait.
  • Les revenus externes ont augmenté par rapport à ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent, pour atteindre 43 % des revenus totaux, puisque les composants A220 sont désormais comptabilisés comme des ventes à des tiers.
  • La marge RAII pour le trimestre a augmenté, en raison principalement d’une incidence positive de la composition des revenus qui proviennent principalement de programmes ayant atteint une plus grande maturité. Tandis que les livraisons d’avions Global 7500 et A220 s’accélèrent, la prévision de marge RAII ajustée pour l’exercice complet demeure à environ 7,5 % pour l’exercice.
  • Depuis la clôture de l’acquisition du programme d’aile d’avion Global 7500 le 6 février 2019, Aérostructures et Services d’ingénierie se sont concentrés sur l’intégration des installations situées à Red Oak, au Texas, pour appuyer l’accélération de la cadence de production de l’avion Global 7500.

Transport

Résultats du trimestre
Trimestres clos les 31 mars 2019 2018 Écart
Revenus 2 107 $ 2 355 $ (11 )  %
Nouvelles commandes (en milliards de dollars) 1,6 $ 2,3 $ (30 )  %
Ratio de nouvelles commandes sur revenus 0,8 1,0 (0,2 )
RAII(9) 83 $ 191 $ (57 )  %
Marge RAII(9) 3,9 % 8,1 % (420 )  pdb
RAII ajusté(9) 83 $ 189 $ (56 )  %
Marge RAII ajustée(9) 3,9 % 8,0 % (410 )  pdb
RAIIA ajusté(9) 115 $ 214 $ (46 )  %
Marge RAIIA ajustée(9) 5,5 % 9,1 % (360 )  pdb
Additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles 28 $ 25 $ 12 %
Aux 31 mars 2019 31 décembre 2018 Écart
Carnet de commandes (en milliards de dollars) 33,8 $ 34,5 $ (2 ) %
  • Les revenus de Transport au premier trimestre ont atteint 2,1 milliards $, une baisse de 5 % par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent compte non tenu de l’incidence des taux de change, reflétant une accélération moins rapide que prévu de la production liée à certains projets importants tandis que la Société aligne mieux le débit de la production sur les exigences des clients et les calendriers de livraison.
  • La marge RAII de 3,9 % résulte de la baisse des revenus et de l’absorption des coûts fixes connexes ainsi que des estimations révisées des coûts liés à certains projets exigeants. Alors que les difficultés liées à l’absorption des coûts devraient être surmontées tandis que la production et les revenus reviendront aux niveaux prévus plus tard au cours de l’exercice, l’achèvement continu et progressif des projets remportés il y a quelques années au cours de 2019 et 2020 devrait soutenir l’amélioration des marges.
  • Les prévisions des revenus et de la marge RAII ajustée pour l’exercice complet ont été ajustées pour refléter le calendrier de livraisons de projet révisé.
    • La prévision de revenus est ajustée à environ 8,75 milliards $, soit une croissance d’environ 3,5 % par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent, compte non tenu de l’incidence des taux de change. Cette diminution est attribuable à hauteur d’environ 500 millions $ à l’accélération moins rapide que prévu de la production, laquelle occasionne un report de revenus, et d’environ 250 millions $ à une incidence défavorable des taux de change aux taux en vigueur.
    • La prévision de marge RAII ajustée passe d’environ 9 % à environ 8 %.
  • Le carnet de commandes de Transport de 33,8 milliards $ reflète un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,8 et devrait s’améliorer tout au long de l’exercice, compte tenu d’un solide bassin d’occasions.

À propos de Bombardier
Avec plus de 68 000 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.

Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier possède des installations de production et d’ingénierie dans 28 pays, couvrant les secteurs Transport, Avions d’affaires, Avions commerciaux et Aérostructures et Services d’ingénierie. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2018, nos revenus ont été de 16,2 milliards $ US. Bombardier fait partie des 100 entreprises les plus durables au monde de l’indice Global 100 de 2019. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Bombardier, Challenger, CRJ, CRJ550, CRJ900, Global, Global 7500, Learjet et Q400 sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour information

Simon Letendre Patrick Ghoche
Gestionnaire, Vice-président,
Relations avec les médias et affaires publiques Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc. Bombardier Inc.
+514 861 9481 +514 861 5727

Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse ri.bombardier.com.

ins : information non significative
pdb : point de base
(1) Mesures financières non conformes aux PCGR. Voir la mise en garde relative aux mesures financières non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
(2) Se reporter à la Note 2, Modifications de politiques comptables, des états financiers consolidés intermédiaires de la Société le trimestre clos le 31 mars 2019 pour l’incidence de l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location. Selon l’approche rétrospective modifiée adoptée par la Société, les chiffres pour l’exercice 2018 ne sont pas retraités.
(3) Définies comme Trésorerie et équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.
(4) Compte tenu des revenus de SCACS pour le premier trimestre de 2018.
(5) À l’exclusion de cinq livraisons d’avions CS300 au cours du trimestre correspondant de 2018.
(6) Ratio de nouvelles commandes reçues sur le nombre de livraisons d’avions, en unités, excluant les commandes et les livraisons d’avions C Series.
(7) Compte tenu de la quote-part du gain net de SCACS pour le trimestre clos le 31 mars 2019, totalisant 1 million $.
(8) À l’exclusion de commandes fermes visant 115 avions CS100 et 228 avions CS300 au cours du trimestre correspondant de 2018. Après la clôture du partenariat C Series, Airbus a renommé les avions CS100 et CS300 respectivement A220-100 et A220-300.
(9) Compte tenu de la quote-part des résultats provenant de participations dans des coentreprises et des entreprises associées totalisant 17 millions $ pour le trimestre clos le 31 mars 2019 (21 millions $ pour le trimestre clos le 31 mars 2018).

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES AUX PCGR

Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les IFRS et sur les mesures financières non conformes aux PCGR suivantes :

RAII ajusté RAII excluant les éléments spéciaux. Les éléments spéciaux sont ceux qui ne reflètent pas le rendement de base de la Société ou dont la présentation distincte permet aux utilisateurs de mieux comprendre les résultats financiers consolidés de la Société pour la période. Ces éléments comprennent notamment l’incidence des charges de restructuration ainsi que des charges de dépréciation importantes et la reprise de celles-ci.
RAIIA ajusté RAII ajusté, amortissement et charges de dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles.
Résultat net ajusté Résultat net, compte non tenu des éléments spéciaux, de la charge de désactualisation des obligations nette au titre des avantages de retraite, de certains gains et pertes nets découlant des modifications de l’évaluation des provisions et des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du résultat net et de l’incidence fiscale connexe de ces éléments.
RPA ajusté RPA calculé d’après le résultat net ajusté attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres de Bombardier Inc. au moyen de la méthode du rachat d’actions en tenant compte de l’exercice de tous les facteurs de dilution.
Flux de trésorerie disponibles (utilisation) Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles.

Les mesures financières non conformes aux PCGR sont tirées principalement des états financiers consolidés, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS. L’exclusion de certains éléments des mesures de rendement non conformes aux PCGR ne signifie pas que ces éléments sont nécessairement ponctuels. D’autres entités de l’industrie de la Société peuvent définir les mesures susmentionnées de manière différente. Dans ce cas, il peut être difficile de comparer le rendement de ces entités au rendement de la Société selon des mesures non conformes aux PCGR ayant une appellation similaire.

Avant le premier trimestre de l’exercice 2019, la Société présentait le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux comme étant des mesures non conformes aux PCGR. Depuis le premier trimestre de l’exercice 2019, la Société a modifié l’appellation de ces mesures non conformes aux PCGR et les nomme désormais respectivement « RAII ajusté » et « RAIIA ajusté », sans modifier la composition de ces mesures non conformes aux PCGR. La Société est d’avis que cette nouvelle appellation est plus conforme à la pratique du marché large dans son secteur et distingue mieux ces mesures du RAII et du RAIIA selon les IFRS.

RAII ajusté, RAIIA ajusté, résultat net ajusté et résultat par action ajusté
La direction utilise le RAII ajusté, le RAIIA ajusté, le résultat net ajusté et le résultat par action ajusté aux fins de l’évaluation de la performance sous-jacente de l’entreprise. La direction croit que ces mesures du résultat non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux lecteurs de ses communiqués de presse une meilleure compréhension de ses résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de l’entreprise. Le RAII ajusté, le RAIIA ajusté, le résultat net ajusté et le RPA ajusté excluent des éléments qui ne reflètent pas le rendement de base de la Société ou dont l’exclusion aidera les utilisateurs à comprendre ses résultats pour la période. C’est pourquoi un grand nombre de lecteurs analysent les résultats de la Société d’après ces mesures financières. La direction est d’avis que ces mesures aident les lecteurs à mieux analyser les résultats, améliorent la comparabilité des résultats de la Société d’une période à l’autre ainsi que la comparabilité avec ses pairs.

Flux de trésorerie disponibles (utilisation)
Les flux de trésorerie disponibles correspondent aux flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles diminués des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles. La direction croit que cette mesure des flux de trésorerie non conforme aux PCGR permet aux investisseurs d’avoir une vision claire de la trésorerie disponible générée pour les actionnaires de la Société, le remboursement de la dette et les acquisitions une fois engagées les dépenses en immobilisations requises à l’appui des activités courantes de l’entreprise et la création de valeur à long terme. Cette mesure des flux de trésorerie non conforme aux PCGR ne correspond pas aux flux de trésorerie disponibles résiduels aux fins des dépenses discrétionnaires, étant donné qu’elle ne tient pas compte de certaines sorties de fonds obligatoires, comme le remboursement de la dette arrivant à échéance. La direction a recours aux flux de trésorerie disponibles à titre de mesure d’évaluation de la performance de l’entreprise et de la génération de liquidités dans son ensemble.

Le rapprochement des mesures financières non conformes aux PCGR avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans les tableaux ci-après, à l’exception du rapprochement suivant :

  • RAII ajusté et RAII – se reporter aux tableaux Résultats opérationnels des secteurs isolables et à la rubrique Résultats opérationnels consolidés du rapport de gestion de la Société pour le trimestre clos le 31 mars 2019.
Rapprochement des résultats sectoriels et des résultats consolidés
Trimestres clos les 31 mars
2019 (1) 2018
Revenus
Avions d’affaires 970 $ 1 110 $
Avions commerciaux 241 463
Aérostructures et Services d’ingénierie 470 446
Transport 2 107 2 355
Siège social et élimination (272 ) (346 )
3 516 $ 4 028 $
RAII ajusté
Avions d’affaires 74 $ 98 $
Avions commerciaux 22 (73 )
Aérostructures et Services d’ingénierie 66 47
Transport 83 189
Siège social et élimination (74 ) (60 )
171 $ 201 $
Éléments spéciaux
Avions d’affaires (520 )  $ 1 $
Avions commerciaux
Aérostructures et Services d’ingénierie 1
Transport (2 )
Siège social et élimination 7
(513  $ $
RAII
Avions d’affaires 594 $ 97 $
Avions commerciaux 22 (73 )
Aérostructures et Services d’ingénierie 66 46
Transport 83 191
Siège social et élimination (81 ) (60 )
684 $ 201 $
Rapprochement du RAIIA ajusté et du RAII
Trimestres clos les 31 mars
2019 2018
RAII 684 $ 201 $
Amortissement 91   62
Charges de dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles   2
Éléments spéciaux compte non tenu de la charge de dépréciation des immobilisations  corporelles et incorporelles(2) (509 )
RAIIA ajusté 266 $ 265 $

(1) Se reporter à la Note 2, Modifications de politiques comptables, des états financiers consolidés intermédiaires de la Société le trimestre clos le 31 mars 2019 pour l’incidence de l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location. Selon l’approche rétrospective modifiée adoptée par la Société, les chiffres pour l’exercice 2018 ne sont pas retraités.
(2)  Se reporter à la rubrique Résultats opérationnels consolidés du rapport de gestion de la Société pour des détails sur les éléments spéciaux.

Rapprochement du résultat net ajusté et du résultat net et calcul du RPA ajusté
Trimestres clos les 31 mars
2019
2018
(par action)
(par action)
Résultat net 239 $ 44  $
Ajustements du RAII liés aux éléments spéciaux(1) (513 ) (0,22 )  $  $
Ajustements de la charge nette de financement liés à ce qui suit :
Variation nette des provisions découlant des fluctuations de taux d’intérêt et du gain net sur certains instruments financiers (79 ) (0,03 ) (26 ) (0,01 )
Désactualisation des obligations nettes au titre des avantages de retraite 18 0,01 19 0,01
Perte sur rachat de dette à long terme(1) 80 0,03
Incidence fiscale des éléments spéciaux(1) et des autres éléments d’ajustement 133 0,06 (2 ) 0,00
Résultat net ajusté (122 ) 35
Résultat net attribuable à la participation ne donnant pas le contrôle (44 ) (6 )
Dividendes sur actions privilégiées, incluant les impôts (7 ) (7 )
Résultat net ajusté attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres de Bombardier Inc. (173 )  $ 22  $
Nombre moyen pondéré dilué d’actions ordinaires (en milliers) 2 374 850 2 370 351
RPA ajusté (en dollars) (0,07 )  $ 0,01  $
Rapprochement du RPA ajusté et du RPA dilué (en dollars)
Trimestres clos les 31 mars
2019 2018
RPA dilué 0,08 $ 0,01 $
Incidence des éléments spéciaux(1) et des autres éléments d’ajustement (0,15 )
RPA ajusté (0,07 )  $ 0,01 $
Rapprochement de l’utilisation des flux de trésorerie disponibles et des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles
Trimestres clos les 31 mars
2019 2018
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles (907 )  $ (471 )  $
Additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles (137 )   (250 )
Utilisation des flux de trésorerie disponibles (1 044  $ (721 )  $

(1) Se reporter à la rubrique Résultats opérationnels consolidés du rapport de gestion de la Société pour des détails sur les éléments spéciaux.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur les objectifs, les attentes et les prévisions de la Société à propos de divers indicateurs financiers et globaux et sources d’apport connexes, les cibles, les buts, les priorités, les marchés et les stratégies de la Société, sa situation financière, sa position sur le marché, ses capacités, sa position en regard de la concurrence, ses cotes de crédit, ses croyances, ses perspectives, ses plans, ses attentes, ses anticipations, ses estimations et ses intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; la stratégie de croissance, y compris celle des activités de services après-vente pour des avions d’affaires; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; la position de la Société en regard de la concurrence; les attentes à l’égard de la résorption du fonds de roulement relativement aux projets existants de Transport; les prévisions relatives à la composition des revenus et du carnet de commandes; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur l’entreprise et ses activités; la robustesse de la structure du capital de la Société et de son bilan, sa solvabilité, ses liquidités et sources de financement disponibles, ses besoins financiers prévus et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la mise en place d’améliorations visant la productivité et les gains d’efficacité opérationnelle et d’initiatives de restructuration et les coûts prévus s’y rattacher, les avantages recherchés et le moment de leur matérialisation; les objectifs et les cibles financières sous-jacents au plan de transformation de la Société ainsi que son calendrier de réalisation et les progrès de sa mise en œuvre, notamment la transition de l’entreprise vers un cycle de croissance et la génération de liquidités; les prévisions et les objectifs en matière de rachat de la dette; les attentes à l’égard du rachat en temps opportun de l’investissement de la Caisse dans BT Holdco; les intentions et les objectifs à l’égard des programmes de la Société, de ses actifs et de ses activités, y compris l’accent mis sur le retour à la rentabilité et l’évaluation des options stratégiques qui s’offrent pour le programme CRJ Series; les avantages prévus de la création de Bombardier Aviation et l’échéancier prévu de réalisation ainsi que les coûts estimés connexes; la cession éventuelle des activités de la Société à Belfast et au Maroc, les avantages prévus de toute cession ou de toute autre transaction en découlant et leur incidence prévue sur les activités, l’infrastructure, les possibilités, la situation financière, le plan d’affaires et la stratégie globale de la Société; le financement et les liquidités de la Société en commandite Avions C Series (SCACS); et l’incidence prévue et les avantages escomptés du partenariat de la Société avec Airbus et de son investissement dans SCACS; et la réalisation des avantages attendus de l’acquisition des activités et des actifs du programme de fabrication d’aile d’avion Global 7500 auprès de Triumph Group Inc. (Triumph). En ce qui concerne la vente proposée du programme d’avions Q Series (la transaction en cours), le présent communiqué de presse comporte également des énoncés prospectifs ayant trait aux conditions et modalités prévues et à l’échéancier de réalisation connexe; au produit devant en découler et à l’utilisation et/ou la contrepartie de celui-ci, aux coûts et charges connexes ainsi qu’aux avantages que la Société prévoit en retirer et à leur incidence prévue sur ses prévisions et objectifs; et au fait que la clôture de ces transactions sera conditionnelle à la concrétisation de certains événements, y compris l’obtention des approbations nécessaires des organismes de réglementation.

Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « attendre », « anticiper », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés des objectifs de la Société, de ses priorités stratégiques, attentes et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension des activités de la Société et de l’environnement dans lequel elle prévoit exercer ses activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.

De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles repose le présent communiqué de presse en lien avec la cession éventuelle des activités de la Société à Belfast et au Maroc comprennent les hypothèses importantes suivantes : la détermination et la réalisation réussie d’au moins une transaction de cession ou de toute autre transaction en découlant selon des modalités satisfaisantes sur le plan commercial et la réalisation des avantages qui devraient en découler selon l’échéancier prévu. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué de presse en lien avec la transaction en cours dont il est question dans les présentes comportent les hypothèses significatives suivantes : le respect de toutes les conditions de clôture et la réalisation de ces actions stratégiques et de la transaction selon l’échéancier prévu, y compris l’obtention des approbations des organismes de réglementation. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir les rubriques Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Avions d’affaires, Avions commerciaux, Aérostructures et Services d’ingénierie et Transport du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2018.

Certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs; notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, au contexte commercial de la Société (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale, à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou aux changements climatiques à l’échelle mondiale), au risque opérationnel (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement commercial et à l’octroi de nouveaux contrats; au ratio de nouvelles commandes sur livraisons et au carnet de commandes; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets, y compris les problèmes liés à certains projets existants de Transport et à la libération de fonds de roulement connexe; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; aux risques liés à la capacité de la Société de mettre en œuvre et de réaliser avec succès sa stratégie, son plan de transformation, ses améliorations visant la productivité, ses gains d’efficacité opérationnelle et ses initiatives de restructuration, y compris la création de Bombardier Aviation; aux partenaires commerciaux; aux risques liés au partenariat de la Société avec Airbus et à son investissement dans SCACS; aux risques liés à la capacité de la Société de poursuivre la mise en œuvre de son plan de financement de SCACS et de financer, au besoin, les besoins en trésorerie; aux risques liés à la capacité de la Société d’intégrer avec succès les activités et les actifs du programme de fabrication d’aile d’avion Global 7500 acquis auprès de Triumph; au caractère inapproprié de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement de projet; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à la dépendance de la Société à l’égard de certains clients, contrats et fournisseurs; à la chaîne d’approvisionnement; aux ressources humaines; à la dépendance à l’égard des systèmes informatiques; à la dépendance à l’égard des droits relatifs à la propriété intellectuelle et à leur protection; aux risques liés à la réputation; à la gestion des risques, aux questions fiscales; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), aux risques liés au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux risques liés aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt et certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), aux risques liés au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018. En ce qui concerne la création de Bombardier Aviation dont il est question dans les présentes, certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, notamment, sans s’y limiter, les avantages, les coûts et l’échéancier prévus de la création de Bombardier Aviation, et le risque qu’elle ne soit pas réalisée selon l’échéancier et les paramètres prévus, ou pas du tout; la réalisation des synergies et des possibilités de croissance et d’innovation et les coûts et charges connexes engagés; la capacité de la Société de s’assurer de disposer des compétences, des technologies et des capacités nécessaires pour réaliser les avantages prévus des changements organisationnels; et les incidences défavorables de l’annonce ou de l’imminence de la création de Bombardier Aviation sur le cours des actions et sur la performance financière de Bombardier. En ce qui concerne la cession éventuelle des activités de la Société à Belfast et au Maroc dont il est question dans les présentes, certains facteurs qui peuvent faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs comprennent, sans s’y limiter, l’incapacité de repérer et de réaliser une cession ou toute autre transaction en découlant selon l’échéancier prévu et selon des modalités satisfaisantes sur le plan commercial ou pas du tout; la non-réalisation de la totalité ou d’une partie des avantages qui devraient en découler selon l’échéancier prévu, ou l’incapacité de réaliser ces avantages; et les coûts et charges connexes qui pourraient être engagés; et les incidences défavorables de l’annonce ou de l’imminence d’une telle cession ou de toute autre transaction. En ce qui concerne la transaction en cours dont il est question dans les présentes, certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, y compris, sans s’y limiter, la non-réception des approbations des organismes de réglementation ou le retard dans la réception de celles-ci ou le non-respect des conditions rattachées à la réalisation de la transaction ou le retard dans le respect de celles-ci et l’incertitude concernant le temps requis pour mener à bien la transaction, et le fait que la Société n’ait pas accès aux fonds ou avantages connexes selon l’échéancier prévu ou pas du tout; le fait que d’autres sources de financement qui pourraient remplacer le produit prévu et les économies découlant de pareilles actions stratégiques et de la transaction, selon le cas, pourraient ne pas être accessibles lorsqu’elles s’avèrent nécessaires ou ne pas l’être selon des modalités avantageuses. Par conséquent, rien ne garantit qu’une cession liée aux activités de la Société à Belfast et au Maroc, ou que la transaction en cours sera réalisée ou aura lieu, à quel moment elle le sera ou si elle sera conclue avec succès, ni le montant ou l’emploi du produit en découlant, ou que les avantages prévus seront réalisés en tout ou en partie. Rien ne garantit également que l’investissement dans BT Holdco sera racheté, sous quelque forme ou à quelque moment que ce soit. Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018.

Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que la Société ne connaît pas ou qu’elle considère comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, la Société nie expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

Le présent communiqué de presse n’est pas conçu pour servir de base à une décision d’investissement quelle qu’elle soit et il ne peut y avoir aucune assurance que toute cession ou autre transaction liée aux activités de la Société à Belfast ou au Maroc sera effectuée en tout ou en partie, ni quant au moment de sa réalisation, ni quant au montant du produit généré et à son utilisation, ni quant aux avantages prévus en totalité ou en partie.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX PROGRAMMES D’AVIONS GLOBAL 5500, GLOBAL 6500, GLOBAL 8000 AND CRJ550

Les avions Global 5500, Global 6500, Global 8000 et CRJ550 sont présentement à la phase de développement et ils sont susceptibles de changements, notamment en ce qui a trait à la stratégie de gamme, à la marque, à la capacité, aux performances, à la conception et aux systèmes de circuits. Toutes les spécifications et les données sont approximatives, peuvent changer sans préavis et sont assujetties à certaines règles d’exploitation, hypothèses et autres conditions. Le présent document ne constitue ni une offre, ni un engagement, ni une déclaration, ni une garantie d’aucune sorte.

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34 avis sur “Importante restructuration de Bombardier Aéronautique

  • Ça veut dire qu’ils n’ont pas réussi leur plan de redressement.

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    • C’était un plan de liquidation de sa division commerciale …

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      • Je suis quand même surpris qu’ils se débarrassent de l’usine des Short Brothers. Vont-ils vendre à AIRBUS et AIRBUS va déménager la fabrication des ailes après le BREXIT.

        AIRBUS semble aimer mieux payer ses employés en dollar canadien quand zeuros.

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        • Sauf que l’Irlande du Nord fait également partie des UK… Pas sur qu’Airbus ait un quelconque intérêt à assembler des fuselages d’appareils de Bombardier ou des nacelles de moteur. Je vois plutôt une entreprise comme GKN ou Fokker, peut-être même Aerolia mais ce serait surprenant.

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          • En fait Aerolia s’appelle Stelia et appartient à AIRBUS. Donc ça change pas grand chose. AIRBUS a clairement dit que s’il y a BREXIT dur, ils vont reconsidérer l’existence de ses usines en GB. AIRBUS a plus les moyens de pressuriser/menacer les syndicats. Les baisses de coûts ce sont les baisses de salaires qui sont derrière. Prix = salaires + profits.

            Moi je pense qu’il y a une chance que la fabrication des ailes du CSERIES se fasse au Canada en échange d’un contrat intéressant pour AIRBUS. Comme je l’ai dit, AIRBUS préfère maintenant payer en dollars canadiens.

          • Les ailes ne bougeront pas de Belfast le gouvernement UK à investi massivement et de toute façon les brevets des ailes appartiennent à Short Brothers PLC, pour l’instant filiale de Bombardier.

            Même s’il travaillait au salaire minimum le coût de production des ailes baisserait à peine, presque tout est automatisé…

          • Le G de GB a mis 200 ou 300 million dans le truc. C’est pas énorme. Il sont plus de 2000 à fabriquer les ailes du CSERIES. J’imagine qu’ils ne sont pas tous là à regarder les machines travaillée les doigts dans le nez et les mains dans les poches …

            Si les brevets appartienne à Shorts et que Shorts appartient à BBD, je pense qu’ils peuvent en garder le contrôle. Ils vont sûrement offrir une licence au futur acheteur. BBD a quand même mis $7 milliards US dans le programme et la tech développée sera toujours dans le coup dans deux ou trois décennies. BBD en a encore besoin pour ses prochains avions. C’est clair que si c’est l’acheteur qui prend les brevets, la transaction va coûter pas mal plus cher.

    • Comme AIRBUS a demandé des baisses de prix aux fournisseurs et que BBD est le fournisseur principal, ce dernier n’a peut-être pas réussis a convaincre les syndicats là-bas ou simplement n’a même pas osé essayer, décide de se débarrasser du truc. C’est peut-être à la demande d’AIRBUS de vendre. Je ne sais combien ça vaut. Chose sûre, BBD a besoin de cash pour rembourser ses $11 milliards cdn de dettes.

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  • louis martineau

    Ça veut plutôt dire que bombardier est dans le dernier mille de son plan de redressement de 5 ans qui se termine en novembre 2020. L’avionneur Québécois, dégraisser de ses canards boiteux và voler plus haut et pourra enfin sortir de son marécage une fois pour toute. Bombardier aéronautique pourra être beaucoup mieux positionner pour prendre de l’expension seul ou avec un autre avionneur. En espérant que le tout ou à peu près se fasse dans la grande région de Montréal/Mirabel. Moi c’est de cette manière que je comprend les annonces de ventes d’usines se 02 mai 2019. Dans les prochains mois l’action BBD.B devrait causser des surprises à la hausse…………….

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  • François Bouchard

    Dans un contexte où AirBus veut réduire les coûts du Cseries, l’usine de Belfast qui fabrique les ailes de celui-ci est sous pression pour réduire ses propres coûts. Au point de vu commerciale, ses perspectives de rentabilité se trouvent appauvries et comme il n’y a que le profit qui compte, ça prend son sens.

    Quand un actif ne fait pas de profit ou n’est pas stratégique, il est alors considéré comme un poids mort qui draine de l’énergie et du cash.

    Je ne sais oas si vous vous rappelez d’une présentation qu’avait Bombardier à New York. Tous les VP avaient fait un exposé et David Coleal m’avait vraiment impressionné, ça semble être toute une tête! C’est clair qu’il est un cran au dessus de la masse. Je ne suis pas inquiet pour la suite.

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  • Gros Minet

    Pourtant BBD voulait être un poids lourd dans l’aérostructure. Ils voulaient être juste derrière Spirit. Ça sera pour la prochaine fois … si il en a une.

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    • Extrait de l’article ci-haut (Louis Martineau) :
      Bjorn’s Corner: Bombardier selling off unique CSeries technology.
      “This technology is the Crown Jewel of the Belfast operation and Bombardier assumes it can get Airbus or one of Airbus aerostructures partners to pay top dollars to get hold of this asset. With Airbus expanding the reach of the A220, there is a long term future for the Belfast Carbon Fiber Reinforced Polymer (CFRP) wing technology.
      I would think Airbus would like to restrict the technology to only Airbus projects. This would speak for an Airbus purchase of the asset. Why hasn’t then this happened already? Airbus and Bombardier are partners in the A220 program?
      We must assume Bellmare wants more than Airbus has offered to pay. By opening up to competition he hopes more debt can be paid off by selling to the highest bidder.”
      L’intérêt d’Airbus se trouverait dans l’exclusivité du procédé et dans ses applications sur un évantuel A220-500.

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      • Faut pas que les brevets soit accessible à Bowing. C’est évident.

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  • CLAUDE BOULAY

    Les chinois (AVIC) seraient intéressés par l’usine et la technologie des ailes. Quand on sait qu’Airbus a accepté le partenariat pour éviter que le CSeries tombent dans les mains des chinois, je pense qu’Airbus pourrait acheter la technologie et pourrait demander à Spirit d’acheter l’usine. Il serait illogique que les chinois fabriquent le fuselage et les ailes d’un avion pour lequel ils n’ont pas commander un seul exemplaire. En bref ils sont juste intéresser par la technologie et pourraient bien fermer l’usine. https://www.irishtimes.com/business/transport-and-tourism/chinese-aviation-groups-in-pole-position-to-buy-bombardier-1.3880320?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

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  • Les chinois sont la dernière chance de BBD de récupérer un peu les pertes accumulées du programme CSERIES. Ils n’ont pas pu acheter le programme et bien ils vont acheter les ailes. C’est la partie la plus importante. Je ne sais pas comment AIRBUS va réagir. Ce programme sera déficitaire pendant de nombreuses années et quand AIRBUS vont racheter tout le programme dans 4-7 ans, ils ne paieront pas grand chose à BBD et au GQ.

    Je ne serai pas surpris qu’au court des dix prochaines années, AIRBUS aura mis $2-4 milliards dans le programme simplement pour payer les déficits dû à la différence entre le coût de fabrication et le prix de vente. Ces temps-ci, ils doivent perdre entre 15 et 20 millions par appareil.

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  • CLAUDE BOULAY

    André, je pense qu’il serait intéressant de parler du prix de vente des avions. Les transporteurs veulent des avions modernes mais au même prix que des avions qui ont été conçu il y a 50 ans. C’est pas normale que des 320 NEO qui consomment 15% de moins se vendent le même prix qu’un 320 classique. Avec la déconfiture de Boeing, le prix du 737 MAX baissera et qu’arrivera t il avec le prix des NEO et des A220. Les reportages de la fin de semaine sur le 737MAX nous indique Boeing se préoccupe juste de l’argent. Rien pour la sécurité. La technologie à un coût et prend du temps. Si les transporteurs ne changent pas leur façon de penser il n’y aura pas de remplaçant des 737 et A320 avant longtemps. On pénalise ceux qui veulent innover. CSeries, 787, A380. C’est bien beau voyager au même prix qu’il y a 30 ans mais on est en train de détruire l’insustrie.

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