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L’AéroPod Express # 47 est en ligne

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L’Aéropod Express # 46 est maintenant en ligne et il traite entre autres des sujets suivants : ATA, Super Cobra, Typhoon, Rossiya Force One et d’une commande de 100 avions de Chine Express Airlines. Notez que les épisodes réguliers de l’AéroPod reviendront la semaine prochaine. 

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Les Ailes du Québec se joint à Mentoraero pour produire des podcast sur l’actualité aéronautique. Les commentateurs sont: André Allard des Ailes du Québec, Gregory Blanc et Claudia Ouellet de Mentoraero ainsi qu’Olivier Lacombe alias le pilote laconique.

La formule de l’Aéropod se rapproche de celle du blogue alors que nous discutons de sujets d’intérêt. Si vous avez des commentaires ou des corrections à signaler, nous vous invitons à le faire. Éventuellement, il sera possible d’enregistrer vos commentaires pour les faire entendre sur l’AeroPod.

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17 avis sur “L’AéroPod Express # 47 est en ligne

  • louis martineau

    Dans le titre on annonce AéroPod express #47 mais c’est plutôt le #46

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    • André Allard

      Ouais bon, le problème c’est que j’ai fais la même erreur la semaine dernière. Alors si je change le titre, pour mettre le numéro 46 alors les gens pourraient penser que c’est le même que la semaine précédente. 😉 Alors je le laisse ainsi.

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      • louis martineau

        Erreur pardonner en autant que tu achète deux Global 7500 pour stimuler les ventes au Québec.😀

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        • André Allard

          J’attend l’approbation de la banque pour le prêt

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    • André Allard

      J’ai vu et je trouve que c’est du temps et de l’argent gaspillé

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    • Nicolas

      Je ne suis pas d’accord, le marché des moins de 100 sièges est le seul qui ne bénéficie pas d’un appareil de dernière génération. C’est évident qu’Embraer n’aura pas l’argent à court terme et c’est pour cette raison qu’ils cherchent un partenaire qui viendra probablement de Chine ou de l’Inde. Si j’étais De Havilland Canada, je songerais sérieusement à me porter candidat pour ce partenariat si ils ont une vision à long terme pour l’entreprise, car c’est évident qu’ils n’auront jamais les moyens de développer un nouvel appareil dans ce segment, alors autant devenir un partenaire tier 1 pour un autre constructeur.

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      • André Allard

        Pour la Chine prendrait un partenariat avec Embraer qui entrerait en compétition avec le MA 700?

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        • Nicolas

          Pourquoi pas, le MA700 c’est la même génération que le Q400 et ATR série -600 et ne se vendra probablement pas en dehors des pays de la sphère d’influence de la Chine, s’associer avec Embraer leur ouvrirait le reste du monde.

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          • André Allard

            La Chine fabrique ses propres avions et entend développer sa propre industrie et elle n’est pas à la recherche de nouveau partenaire. S’il est vrai que dans le passé elle a ey beaucoup de difficultés et qu’elle progressait lentement, ce n’est plus la cas aujourd’hui. Près de 1 000 nouveaux ingénieurs en aéronautique graduent maintenant à chaque année en Chine et le gouvernement chinois va d’abord mettre ses jeunes talents à profit avant de s’associer avec un autre pays. Il suffit de voir comment les négociations entre le Chine et la Russie sont difficiles à propos du C929. Imagine pour un pays qui n’a jamais été partenaire avec la Chine.

          • Nicolas

            Embraer assemblait des appareils en Chine il n’y a pas si longtemps. De toute façon la Chine ce n’est qu’un des partenaires potentiels, Spirit Aero en est un autre, et en plus ils viennent tout juste d’acheter une usine qui détient un procédé unique pour fabriquer des ailes en composites 😉

  • Embraer n’a clairement pas les finances pour développer un nouvel avion même si elle compte récupérer le fuselage de l’EJET.
    Ils sont au bord du précipice depuis l’arrêt de la fusion avec Boeing et cherche des investisseurs à tout prix.
    Les Chinois n’ont aucun intérêt à s’intéresser à ce projet ou même à Embraer. Boeing à d’autres chats à fouetter et rappelons que c’est Boeing qui à mis un terme à la fusion.
    Airbus à déjà ATR dans son giron.
    Le Japon avec Mitsubishi ne se rabessera pas avec un simple turbo propulseur. Le Japon à envie de réussir et on va les retrouver prochainement sur un nouveau projet j’en suis sur. Je met un billet sur un projet avec Boeing.
    Il ne reste donc que la Russie pour être partenaire de se projet. Mais hélas cela ne suffira pas à credibiliser le projet.

    De plus, pour motoriser ce nouvel avion, il faut un moteur. Et il n’y a pas grand chose actuellement sur le marché de recent ou performant. Qui plus est, le fuselage de l’EJET est pas réputé pour être le plus leger et le mieux fini.

    Un projet qui semble donc servir uniquement à faire parler d’Embraer.

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    • André Allard

      L’Inde pourrait être un partenaire potentiel, mais la pandémie change bien des priorités et je ne sais pas si le gouvernement indien a le coeur à investir dans un partenariat avec le Brésil en ce moment.

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    • Nicolas

      Embraer va s’associer avec une entreprise, pas avec un pays, même si dans certains cas l’un ne va pas sans l’autre. Et la situation financière n’est pas si mal compte tenu du contexte actuel (largué par Boeing et le Covid). Je crois sérieusement que le marché répondrait positivement s’il y avait une offre moderne dans le segment des moins de 100 passagers, ce qui n’est pas arrivé depuis plus de 20 ans avec l’arrivée du E-jet.

      « De plus, pour motoriser ce nouvel avion, il faut un moteur. Et il n’y a pas grand chose actuellement sur le marché de récent ou performant. » C’est faux, Pratt & Whitney Canada (NGRT) et GE (CPX38) ont tous les deux des projets en cours pour ce marché même si ça doit tourner au ralenti de ce côté ces temps-ci.

      Côté poids, l’Embraer 175 a le même poids à vide que le CRJ900, malgré un moteur plus lourd et un fuselage significativement plus large. En supposant qu’ils utilisent le même fuselage sur un turboprop, il faudra refaire l’empennage en T et l’aile qui sont beaucoup trop grands pour les besoins et pas vraiment conçu pour la configuration illustrée (moteur au dessus de l’aile entre autres) par les images publié par Embraer cette semaine

      Ceci dit je ne dis pas qu’Embraer va nécessairement se lancer dans ce projet, peut-être que ce n’est que de la poudre aux yeux, mais si une entreprise peut le faire c’est bien elle, je crois même que c’est la seule qui ait la capacité de le faire à moyen terme.

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      • André Allard

        Le problème avec les la motorisation c’est que nous sommes à une dizaine d’années d’un changement technologique important. Développer maintenant un avion avec un mode de propulsion traditionnel est un risque car la technologie sera dépassée dans quelques années.

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        • Nicolas

          J’imagine que tu penses à l’open rotor. C’est vrai que cette technologie est très prometteuse, tu as peut-être raison.

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