Aéropod

La France fait plus pour l’A220 que le Canada

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Dans l’épisode de cette semaine de l’Aéropod, on vous explique comment le gouvernement français vient en aide à l’A220. De plus le total de l’aide française dépasse le montant total d’aide du Canada dans ce programme d’avion. Pour aller directement à la discussion sur l’A220, avancez à 1 heure 3 minutes.

Les autres sujets de la semaine sont: collision entre deux appareils de la GRC, la décision de l’EU sur le rachat de Bombardier Transport, Ethiopian, etc.

Les Ailes du Québec se joint à Mentoraero pour produire des podcast sur l’actualité aéronautique.

André Allard des Ailes du Québec , Gregory Blanc de Mentoraero ainsi qu’Olivier Lacombe sont les commentateurs. C’est Claudia Ouellet qui anime et discipline les trois avgeek.

N’oubliez pas de vous abonner à notre chaîne YouTube. pour ceux qui préfère le podcast voici le lien, Aéropod #37.

La formule de l’Aéropod se rapproche de celle du blogue alors que nous discutons de sujets d’intérêt. Si vous avez des commentaires ou des corrections à apporter, nous vous invitons à le faire. Éventuellement, il sera possible d’enregistrer vos commentaires pour les faire entendre sur l’Aeropod.

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4 avis sur “La France fait plus pour l’A220 que le Canada

  • louis martineau

    Un très bon Aéropod. C’est assez désespérant qu’il faut par l’intermédiaire d’Airbus voir la France aider à la vente des A220. Et tant mieux pour Airbus Mirabel. Silence radio du côté canadien. Vite Québec, sa presse de sortir ton plan d’intervention pour soutenir cette industrie au Québec.

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  • Guillaume

    La France ne fait rien de spécifique pour l’A220, elle aide airbus et indirectement l a220 :).

    En fait si je comprend bien, elle muscle la coface.

    Par exemple, si mr Sisi veut se payer 24 rafales, deux bpc et une fremm, et qu’ il n a pas l argent pour le payer cash, c est l’état français, via la coface qui garanti la transaction. Autrement dit, si l Égypte n a plus les moyens de payer c est le contribuable français qui paiera a sa place.
    Le but étant principalement d accélérer les signatures des contrats difficilement assurable.

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